Abidjan- Le ministre de l’Environnement et du Développement durable Joseph Séka Séka a procédé, le jeudi 23 juillet 2020, au lancement des activités d’incinération de plus de 329 tonnes de Pesticides obsolètes et déchets associés (Poda) au sein de l’entreprise Rmg à Vridi.
Après avoir échangé avec les responsables de l’entreprise et visité les entrepôts de stockages, M. Séka Séka a procédé à la mise en marche des installations industrielles d’incinération qui ,avec une capacité de 1200 degrés, devront permettre de réduire à cendre ces pesticides obsolètes qui sont une réelle menace pour la santé humaine, l’environnement et le développement durable de l’agriculture.
« Avec l’incinération, on réduit non seulement le volume de ces pesticides mais en même temps, cela permet de mieux contrôler les résidus de ces déchets dénués de toute toxicité, de tout danger, pour notre environnement et pour la santé des populations », a-t-il laissé entendre.
Pour lui, tous avons le devoir de protéger l’environnement et les populations contre les produits chimiques et déchets dangereux tout le long de leur cycle de vie.
Coordonnateur du projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés, Pr Georges Kouadio a rappelé que depuis 2016, plusieurs activités ont été réalisées et en cours d’achèvement notamment l’élaboration de textes réglementaires sur les pesticides, la réalisation d’un inventaire national des pesticides, la mise en test de biopesticides et enfin la sauvegarde et l’incinération des pesticides obsolètes et déchets associés.
Pour assurer une meilleure gestion des pesticides, le gouvernement, avec l’appui du Fonds pour l’environnement mondial (Fem) et la Banque Mondiale, a mis en place en 2016, le projet de gestion des pesticides obsolètes et des déchets associés (Progep-ci) piloté par le ministère de l’Environnement et du Développement durable, note-t-on.
bsb/fmo
Après avoir échangé avec les responsables de l’entreprise et visité les entrepôts de stockages, M. Séka Séka a procédé à la mise en marche des installations industrielles d’incinération qui ,avec une capacité de 1200 degrés, devront permettre de réduire à cendre ces pesticides obsolètes qui sont une réelle menace pour la santé humaine, l’environnement et le développement durable de l’agriculture.
« Avec l’incinération, on réduit non seulement le volume de ces pesticides mais en même temps, cela permet de mieux contrôler les résidus de ces déchets dénués de toute toxicité, de tout danger, pour notre environnement et pour la santé des populations », a-t-il laissé entendre.
Pour lui, tous avons le devoir de protéger l’environnement et les populations contre les produits chimiques et déchets dangereux tout le long de leur cycle de vie.
Coordonnateur du projet de gestion des pesticides obsolètes et déchets associés, Pr Georges Kouadio a rappelé que depuis 2016, plusieurs activités ont été réalisées et en cours d’achèvement notamment l’élaboration de textes réglementaires sur les pesticides, la réalisation d’un inventaire national des pesticides, la mise en test de biopesticides et enfin la sauvegarde et l’incinération des pesticides obsolètes et déchets associés.
Pour assurer une meilleure gestion des pesticides, le gouvernement, avec l’appui du Fonds pour l’environnement mondial (Fem) et la Banque Mondiale, a mis en place en 2016, le projet de gestion des pesticides obsolètes et des déchets associés (Progep-ci) piloté par le ministère de l’Environnement et du Développement durable, note-t-on.
bsb/fmo