Daoukro- Le superviseur général de la Commission électorale indépendante (CEI), représentant des régions de l'Iffou, du Moronou, du N'zi et de l'indenié-Djuablin, Émile Ebrotié, a fait savoir, le dimanche 02 août 2020, que 60.000 requérants ont été extraits de la liste électorale provisoire.
M. Ebrotié l'a annoncé lors d'une rencontre entre des membres de la Commission électorale indépendante (CEI) et des acteurs politiques et de la population à la préfecture de Daoukro.
"60.000 requérants sur un total de 1.700.000 ont été expulsés de la liste électorale provisoire lors du croisement des fichiers. Les motifs de cette expulsion sont que lors de leur enrôlement, ces personnes se sont présentées avec de faux documents, c'est à dire de fausses cartes d’électeurs ou se sont fait enrôler dans divers endroits, oubliant que le système informatique rejettera ces informations non compatibles lors des croisements", a-t-il fait savoir.
En plus de ceux-ci, 300.000 personnes sont présumées décédées sur cette liste électorale et 23.000 sont supposées perdre leurs droits civiques et politiques. "Tous ceux qui sont concernés par ce contentieux ou qui estiment être abusivement sortis de la liste, doivent faire une requête auprès de la CEI pour être rétablis dans leurs droits, et la période du contentieux est fixée du 1er au 4 août", a précisé M. Ebrotié.
En ce qui concerne le système de parrainage, il a indiqué que le législateur a souhaité qu'il y ait une pièce supplémentaire à fournir lors du dépôt des candidatures. Là encore, il est demandé aux candidats de fournir une liste de 1% des électeurs par région et dispose jusqu'au 31 août 2020 pour le dépôt de leurs candidatures, sans oublier la liste de leurs parrains, un parrain ne pouvant pas cautionner deux candidatures.
"Il est également interdit de soudoyer un parrain pour obtenir sa signature. Ceux qui le feront sont passibles de poursuites judiciaires", a prévenu le superviseur général.
La CEI s'est enrichie d'un nouveau commissaire central issu du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Bamba Siaka, après sa nomination par le président de la République.
ca/aaa/fmo
M. Ebrotié l'a annoncé lors d'une rencontre entre des membres de la Commission électorale indépendante (CEI) et des acteurs politiques et de la population à la préfecture de Daoukro.
"60.000 requérants sur un total de 1.700.000 ont été expulsés de la liste électorale provisoire lors du croisement des fichiers. Les motifs de cette expulsion sont que lors de leur enrôlement, ces personnes se sont présentées avec de faux documents, c'est à dire de fausses cartes d’électeurs ou se sont fait enrôler dans divers endroits, oubliant que le système informatique rejettera ces informations non compatibles lors des croisements", a-t-il fait savoir.
En plus de ceux-ci, 300.000 personnes sont présumées décédées sur cette liste électorale et 23.000 sont supposées perdre leurs droits civiques et politiques. "Tous ceux qui sont concernés par ce contentieux ou qui estiment être abusivement sortis de la liste, doivent faire une requête auprès de la CEI pour être rétablis dans leurs droits, et la période du contentieux est fixée du 1er au 4 août", a précisé M. Ebrotié.
En ce qui concerne le système de parrainage, il a indiqué que le législateur a souhaité qu'il y ait une pièce supplémentaire à fournir lors du dépôt des candidatures. Là encore, il est demandé aux candidats de fournir une liste de 1% des électeurs par région et dispose jusqu'au 31 août 2020 pour le dépôt de leurs candidatures, sans oublier la liste de leurs parrains, un parrain ne pouvant pas cautionner deux candidatures.
"Il est également interdit de soudoyer un parrain pour obtenir sa signature. Ceux qui le feront sont passibles de poursuites judiciaires", a prévenu le superviseur général.
La CEI s'est enrichie d'un nouveau commissaire central issu du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Bamba Siaka, après sa nomination par le président de la République.
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