Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de la Lutte contre la pauvreté, Mariatou Koné, a appelé, le mercredi 19 août 2020, les leaders politiques à être responsables en cette période électorale, lors d’un atelier qui s’est déroulé à Abidjan.
« Je voudrais interpeller tous les acteurs politiques et les leaders d’opinions sur leurs responsabilités, responsabilités à maintenir et à entretenir un climat de paix social avant, pendant et après les élections », a déclaré Mme Koné.
Pour elle, les acteurs politiques ont besoin de la voix des citoyens, des électeurs pour changer et pour améliorer les choses. « Nous n’avons pas besoin de la vie des citoyens pour les cimetières, toute vie est précieuse toute vie mérite d’être protégée et préservée. Il faut convaincre les électeurs par la justesse de son programme de société, convaincre par la justesse des mots et non par les arguments de la violence physique et verbale », a-t-elle affirmée.
Cet atelier visait à sensibiliser les différentes catégories de parties prenantes, y compris les jeunes et les femmes, dans la prévention des discours de haine et promouvoir la cohésion sociale. Il a regroupé une cinquantaine de participants issus de la Commission électorale indépendante (CEI), du gouvernement, des organisations politiques, des organisations de la société civile, des médias et des agences du système des nations unies.
ano/kkf/fmo
« Je voudrais interpeller tous les acteurs politiques et les leaders d’opinions sur leurs responsabilités, responsabilités à maintenir et à entretenir un climat de paix social avant, pendant et après les élections », a déclaré Mme Koné.
Pour elle, les acteurs politiques ont besoin de la voix des citoyens, des électeurs pour changer et pour améliorer les choses. « Nous n’avons pas besoin de la vie des citoyens pour les cimetières, toute vie est précieuse toute vie mérite d’être protégée et préservée. Il faut convaincre les électeurs par la justesse de son programme de société, convaincre par la justesse des mots et non par les arguments de la violence physique et verbale », a-t-elle affirmée.
Cet atelier visait à sensibiliser les différentes catégories de parties prenantes, y compris les jeunes et les femmes, dans la prévention des discours de haine et promouvoir la cohésion sociale. Il a regroupé une cinquantaine de participants issus de la Commission électorale indépendante (CEI), du gouvernement, des organisations politiques, des organisations de la société civile, des médias et des agences du système des nations unies.
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