L’Union des radios de proximité de Côte d’Ivoire (URPCI) s’est engagée jeudi 03 septembre 2020 dans le recouvrement des droits voisins et d’auteur, par la signature d’une convention avec le Bureau ivoirien des droits d’auteur (BURIDA).
A travers cette convention, l’URPCI va sensibiliser ses membres sur le respect des droits de propriété littéraire et artistique à l’occasion de l’exercice de leur activité de radiodiffusion et assurer la signature des contrats individuels par chaque radio membre.
Quant au BURIDA, il va soutenir les activités de l’URPCI et l’informer des paiements effectués par les radios. Il s’engage également assurer la formation des radios membres et de les privilégier pour les actions de communication.
« Soyons les complices des artistes. Soyons les défenseurs des artistes. Luttons pour que notre culture, notre art puisse vivre parce que les artistes sont les premiers ambassadeurs d’un Etat », a dit le directeur général du Burida, Ouattara Karim, au cours de la signature de convention au siège du BURIDA, à Abidjan.
Il a précisé que le droit d’auteur n’est pas une taxe, ni un impôt, ni une parafiscalité et encore moins une redevance. Il a demandé aux radios de proximité (environ 200) d’être des ambassadeurs du BURIDA auprès des populations.
Ouattara Karim a par ailleurs révélé que plusieurs artistes connaissent des difficultés et du 1er janvier 2020 à ce jour, 30 d’entres eux sont décédés.
(AIP)
ena/tm
A travers cette convention, l’URPCI va sensibiliser ses membres sur le respect des droits de propriété littéraire et artistique à l’occasion de l’exercice de leur activité de radiodiffusion et assurer la signature des contrats individuels par chaque radio membre.
Quant au BURIDA, il va soutenir les activités de l’URPCI et l’informer des paiements effectués par les radios. Il s’engage également assurer la formation des radios membres et de les privilégier pour les actions de communication.
« Soyons les complices des artistes. Soyons les défenseurs des artistes. Luttons pour que notre culture, notre art puisse vivre parce que les artistes sont les premiers ambassadeurs d’un Etat », a dit le directeur général du Burida, Ouattara Karim, au cours de la signature de convention au siège du BURIDA, à Abidjan.
Il a précisé que le droit d’auteur n’est pas une taxe, ni un impôt, ni une parafiscalité et encore moins une redevance. Il a demandé aux radios de proximité (environ 200) d’être des ambassadeurs du BURIDA auprès des populations.
Ouattara Karim a par ailleurs révélé que plusieurs artistes connaissent des difficultés et du 1er janvier 2020 à ce jour, 30 d’entres eux sont décédés.
(AIP)
ena/tm