Abidjan - Le ministre de l’Environnement et du Développement durable (MINEDD), Joseph Séka Séka, à l’occasion de la célébration mercredi 16 septembre 2020 de la Journée Mondiale de la protection de la couche d’ozone, a dans une déclaration, présenté les actions et les préoccupations du Gouvernement en la matière.
Grâce à un engagement commun des Etats Parties au Protocole de Montréal, les scientifiques et l’industrie, la couche d’ozone est en voie de guérison et devrait revenir à ses valeurs d’avant 1980 d’ici le milieu du siècle. pour preuves, plus de 99% des substances appauvrissant la couche d’ozone ont été éliminées, le trou dans la couche d’ozone a diminué d’une superficie équivalente à celle de l’Inde empêchant ainsi les dommages massifs à la santé humaine et à l’environnement en général, selon Pr Séka.
« De plus, à l’appui du Protocole, l’Amendement de Kigali, qui est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2019, s’emploiera à réduire les hydrofluorocarbures (HFC), les gaz à effet de serre à fort potentiel de réchauffement climatique et préjudiciables à l’environnement », a-t-il indiqué.
« Après la ratification du Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d’ozone le 30 novembre 1992, notre pays a comme tous les autres Etats du monde entier, suivi le mouvement d’ensemble pour la restauration et la protection de la couche d’ozone », a déclaré le ministre de l’Environnement.
Il a ajouté que sur le plan national, le MINEDD, à travers le Bureau National Ozone, a mené avec succès plusieurs activités d’élimination des substances appauvrissant la couche d’ozone consommées en Côte d’Ivoire.
« Il s’agit notamment des cas des chlorofluorocarbones (CFC) ou fréons, utilisés dans la production du froid, la fabrication de la mousse et les aérosols qui ont été éliminés depuis le 1er janvier 2010 des halons pour l’extinction des incendies en 2005, du bromure de méthyle pour le traitement du cacao stocké avant exportation en 2015 », a-t-il indiqué.
La Côte d’Ivoire, à l’instar de la communauté internationale, célèbre le 16 septembre de chaque année, la Journée Mondiale de la protection de la couche d’ozone, proclamée par l’Assemblée Générale des Nations Unies, dans sa résolution 49/114, adoptée le 19 décembre 1994. Le thème retenu cette année est, « L’ozone pour la vie ».
La couche d’ozone est la partie de l’atmosphère dite stratosphère qui s’étend entre le 11ème et le 50ème Kilomètre au-dessus de nos têtes. Dans les années 1970, les scientifiques ont observé un appauvrissement de celle-ci, dû à la consommation d’un certain nombre de gaz par les humains. Ce phénomène est à l’ origine de plusieurs conséquences sur la santé, le réchauffement du climat et l’environnement en général, explique-t-on.
(AIP)
gak/ask
Grâce à un engagement commun des Etats Parties au Protocole de Montréal, les scientifiques et l’industrie, la couche d’ozone est en voie de guérison et devrait revenir à ses valeurs d’avant 1980 d’ici le milieu du siècle. pour preuves, plus de 99% des substances appauvrissant la couche d’ozone ont été éliminées, le trou dans la couche d’ozone a diminué d’une superficie équivalente à celle de l’Inde empêchant ainsi les dommages massifs à la santé humaine et à l’environnement en général, selon Pr Séka.
« De plus, à l’appui du Protocole, l’Amendement de Kigali, qui est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2019, s’emploiera à réduire les hydrofluorocarbures (HFC), les gaz à effet de serre à fort potentiel de réchauffement climatique et préjudiciables à l’environnement », a-t-il indiqué.
« Après la ratification du Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent la couche d’ozone le 30 novembre 1992, notre pays a comme tous les autres Etats du monde entier, suivi le mouvement d’ensemble pour la restauration et la protection de la couche d’ozone », a déclaré le ministre de l’Environnement.
Il a ajouté que sur le plan national, le MINEDD, à travers le Bureau National Ozone, a mené avec succès plusieurs activités d’élimination des substances appauvrissant la couche d’ozone consommées en Côte d’Ivoire.
« Il s’agit notamment des cas des chlorofluorocarbones (CFC) ou fréons, utilisés dans la production du froid, la fabrication de la mousse et les aérosols qui ont été éliminés depuis le 1er janvier 2010 des halons pour l’extinction des incendies en 2005, du bromure de méthyle pour le traitement du cacao stocké avant exportation en 2015 », a-t-il indiqué.
La Côte d’Ivoire, à l’instar de la communauté internationale, célèbre le 16 septembre de chaque année, la Journée Mondiale de la protection de la couche d’ozone, proclamée par l’Assemblée Générale des Nations Unies, dans sa résolution 49/114, adoptée le 19 décembre 1994. Le thème retenu cette année est, « L’ozone pour la vie ».
La couche d’ozone est la partie de l’atmosphère dite stratosphère qui s’étend entre le 11ème et le 50ème Kilomètre au-dessus de nos têtes. Dans les années 1970, les scientifiques ont observé un appauvrissement de celle-ci, dû à la consommation d’un certain nombre de gaz par les humains. Ce phénomène est à l’ origine de plusieurs conséquences sur la santé, le réchauffement du climat et l’environnement en général, explique-t-on.
(AIP)
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