Daoukro- L'ex-première Dame, Simone Ehivet Gbagbo a appelé les ivoiriens à "vivre dans le respect de l'autre et des lois" ivoiriennes, lors d'une tournée initiée en vue d'exprimer la compassion du front populaire ivoirien, son parti, aux victimes de la crise inter-communautaire qui s'est déroulée du 11 au 15 août 2020 à Daoukro.
"Apprenons à vivre ensemble dans le strict respect de l'autre et dans le respect des lois ivoiriennes. Si nous voulons obtenir la paix et la sécurité, nous devons nous respecter, respecter les autres, la vie et les lois que nous nous sommes données. Je suis venue à Daoukro pour plaider pour cela" a exprimé Mme Gbagbo.
Elle a ensuite traduit sa compassion ainsi que celle de la délégation qu'elle conduisait à Daoukro, aux familles endeuillées et aux blessés.
" Nous sommes là dans le cadre d'une compassion à la population qui a été meurtrie. Nous sommes venus et nous voudrions symboliquement aider à essayer leurs larmes.", a indiqué l'ex-première Dame.
Président du conseil régional de l'Iffou, Traoré Adam Kolia a rappelé "qu'on ne brûle pas son village, on ne brûle pas son pays. On pose au contraire des actes qui unissent les citoyens".
Cette crise inter-communautaire a fait quatre morts, 182 blessés, 300 maisons, commerces saccagés et 1500 personnes ont été déplacées.
ca/bsb/tm
"Apprenons à vivre ensemble dans le strict respect de l'autre et dans le respect des lois ivoiriennes. Si nous voulons obtenir la paix et la sécurité, nous devons nous respecter, respecter les autres, la vie et les lois que nous nous sommes données. Je suis venue à Daoukro pour plaider pour cela" a exprimé Mme Gbagbo.
Elle a ensuite traduit sa compassion ainsi que celle de la délégation qu'elle conduisait à Daoukro, aux familles endeuillées et aux blessés.
" Nous sommes là dans le cadre d'une compassion à la population qui a été meurtrie. Nous sommes venus et nous voudrions symboliquement aider à essayer leurs larmes.", a indiqué l'ex-première Dame.
Président du conseil régional de l'Iffou, Traoré Adam Kolia a rappelé "qu'on ne brûle pas son village, on ne brûle pas son pays. On pose au contraire des actes qui unissent les citoyens".
Cette crise inter-communautaire a fait quatre morts, 182 blessés, 300 maisons, commerces saccagés et 1500 personnes ont été déplacées.
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