Abidjan- L’Autorité nationale de la presse (ANP) envisage de créer une plateforme de collaboration avec l'Autorité de régulation des télécommunications/TIC de Côte d'Ivoire (ARTCI), la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA), les fournisseurs d’accès et le procureur de la République pour une meilleure régulation de la presse en ligne, a fait savoir jeudi 17 septembre 2020 son président, Samba Koné.
« Jusqu’à présent, il n’y a pas de textes législatifs qui permettent aux différents régulateurs de collaborer ensemble. L’ANP ne dispose pas aujourd’hui de textes pour suspendre une presse en ligne qui aurait commise des fautes. Notre démarche actuelle, c’est de pourvoir établir une plateforme entre les différents régulateurs du secteur à savoir l’ARTCI, les fournisseurs d’accès, le procureur de la République, la HACA pour pouvoir réguler le cyber espace », a indiqué M. Koné, au cours d’un forum d’échanges de l’Agence ivoirienne de presse (AIP) dénommé La tribune de l’AIP.
Pour le premier responsable de la régulation de la presse en ligne, cette collaboration est l’un des défis majeurs de l’ANP, qui a bon espoir que cette plateforme verra le jour.
La nécessité de ce partenariat relève du fait que plusieurs régulateurs interviennent dans le cyber espace en raison de son contenu (textes, vidéos, les réseaux sociaux…).
« S’il arrivait qu’on devrait suspendre un site internet sur le territoire national, l’ANP peut prendre cette décision mais ne peut pas la mettre en œuvre. Il faudrait que l’ANP et la HACA approchent l’ARTCI qui va peut-être voir avec le procureur de la République et le fournisseur d’accès pour interdire l’accès de ce site. Donc il faudrait qu’on soit ensemble pour pouvoir réguler le secteur », a-t-il expliqué.
Selon le président de l’ANP, 147 sites en ligne ont été répertoriés mais seulement une quarantaine d’entre elles sont légalement constituées.
ena/ask
« Jusqu’à présent, il n’y a pas de textes législatifs qui permettent aux différents régulateurs de collaborer ensemble. L’ANP ne dispose pas aujourd’hui de textes pour suspendre une presse en ligne qui aurait commise des fautes. Notre démarche actuelle, c’est de pourvoir établir une plateforme entre les différents régulateurs du secteur à savoir l’ARTCI, les fournisseurs d’accès, le procureur de la République, la HACA pour pouvoir réguler le cyber espace », a indiqué M. Koné, au cours d’un forum d’échanges de l’Agence ivoirienne de presse (AIP) dénommé La tribune de l’AIP.
Pour le premier responsable de la régulation de la presse en ligne, cette collaboration est l’un des défis majeurs de l’ANP, qui a bon espoir que cette plateforme verra le jour.
La nécessité de ce partenariat relève du fait que plusieurs régulateurs interviennent dans le cyber espace en raison de son contenu (textes, vidéos, les réseaux sociaux…).
« S’il arrivait qu’on devrait suspendre un site internet sur le territoire national, l’ANP peut prendre cette décision mais ne peut pas la mettre en œuvre. Il faudrait que l’ANP et la HACA approchent l’ARTCI qui va peut-être voir avec le procureur de la République et le fournisseur d’accès pour interdire l’accès de ce site. Donc il faudrait qu’on soit ensemble pour pouvoir réguler le secteur », a-t-il expliqué.
Selon le président de l’ANP, 147 sites en ligne ont été répertoriés mais seulement une quarantaine d’entre elles sont légalement constituées.
ena/ask