La presse en ligne de Côte d’Ivoire, à travers l’Observatoire des médias numériques de Côte d’Ivoire (OMENCI), créé par le Réseau des professionnels de la presse en ligne (Repprelci), s’auto-régule pour plus de crédibilité des productions en ligne.
Au cours d’un atelier sur la place des femmes et des discours religieux dans les médias, vendredi à l’ISCT Polytechnique de Codcody, dans l’Est d’Abidjan, le président du Repprelci, Lassina Sermé, a présenté l’OMENCI, un instrument qui permet de casser les codes négatifs sur ces deux facteurs.
Cet observatoire a pour mission de veiller au respect de l’éthique et la déontologie du secteur, de promouvoir à la liberté de la presse et assurer la médiation. Il fait des monitorings sur la base d’une grille de lecture qui permet d’indexer les articles contraires à la déontologie.
En cas de manquements, l’OMENCI procède à des interpellations de l’organe de presse, qui peuvent être suivies de sanctions. L’observatoire associe, entre autre, un représentant des journaux en ligne, des agrégateurs, des consommateurs des productions des médias numériques, des web Tv et des web radios.
Il peut être saisi à tout moment par tout intéressé, mais par écrit. Si l’élément incriminé est avéré, l’Observatoire peut prononcer des sanctions disciplinaires : l’avertissement, le blâme, l’amende, proposer le retrait de la carte de journaliste professionnel.
Quant à la place des femmes dans les médias, sujet dominant des échanges, M. Sermé a fait savoir que les femmes ont beaucoup de potentialités, toutefois elles devraient oser et avoir beaucoup de courage pour s’engager dans des débats et des organismes afin d’avoir droit aux chapitres de discussions.
M. Lucien Houedanou, journaliste consultant, a pour sa part, appelé les femmes à occuper les espaces existant pour parler des questions de femmes. A l’endroit des médias, il a invité ses confrères à « multiplier et assurer les articles qui valorisent le droit des femmes ».
« On peut proposer que les religieux mettent en lumière à la lecture des livres saints la promotion de la femme parce qu’elles existent et il faut faire attention à les mettre en évidence », a -t -il poursuivi, soutenant qu’il faut mettre dans les contextes ce que les saintes écritures disent sur la femme.
Le président du Repprelci a rappelé que, selon des données de janvier 2020, la Côte d’Ivoire compte plus de 12 millions de personnes utilisateurs de l’Internet et 4,9 millions sur les réseaux sociaux. Et, plusieurs femmes sont connectées à Internet.
La Côte d’Ivoire qui enregistre quelque 25 millions d’habitants compte un nombre de « plus de 31 millions de personnes ayant des mobiles connectés à Internet ». Ce qui dénote de l’importance de l’espace numérique dans le pays.
Au cours d’un atelier sur la place des femmes et des discours religieux dans les médias, vendredi à l’ISCT Polytechnique de Codcody, dans l’Est d’Abidjan, le président du Repprelci, Lassina Sermé, a présenté l’OMENCI, un instrument qui permet de casser les codes négatifs sur ces deux facteurs.
Cet observatoire a pour mission de veiller au respect de l’éthique et la déontologie du secteur, de promouvoir à la liberté de la presse et assurer la médiation. Il fait des monitorings sur la base d’une grille de lecture qui permet d’indexer les articles contraires à la déontologie.
En cas de manquements, l’OMENCI procède à des interpellations de l’organe de presse, qui peuvent être suivies de sanctions. L’observatoire associe, entre autre, un représentant des journaux en ligne, des agrégateurs, des consommateurs des productions des médias numériques, des web Tv et des web radios.
Il peut être saisi à tout moment par tout intéressé, mais par écrit. Si l’élément incriminé est avéré, l’Observatoire peut prononcer des sanctions disciplinaires : l’avertissement, le blâme, l’amende, proposer le retrait de la carte de journaliste professionnel.
Quant à la place des femmes dans les médias, sujet dominant des échanges, M. Sermé a fait savoir que les femmes ont beaucoup de potentialités, toutefois elles devraient oser et avoir beaucoup de courage pour s’engager dans des débats et des organismes afin d’avoir droit aux chapitres de discussions.
M. Lucien Houedanou, journaliste consultant, a pour sa part, appelé les femmes à occuper les espaces existant pour parler des questions de femmes. A l’endroit des médias, il a invité ses confrères à « multiplier et assurer les articles qui valorisent le droit des femmes ».
« On peut proposer que les religieux mettent en lumière à la lecture des livres saints la promotion de la femme parce qu’elles existent et il faut faire attention à les mettre en évidence », a -t -il poursuivi, soutenant qu’il faut mettre dans les contextes ce que les saintes écritures disent sur la femme.
Le président du Repprelci a rappelé que, selon des données de janvier 2020, la Côte d’Ivoire compte plus de 12 millions de personnes utilisateurs de l’Internet et 4,9 millions sur les réseaux sociaux. Et, plusieurs femmes sont connectées à Internet.
La Côte d’Ivoire qui enregistre quelque 25 millions d’habitants compte un nombre de « plus de 31 millions de personnes ayant des mobiles connectés à Internet ». Ce qui dénote de l’importance de l’espace numérique dans le pays.