Zuénoula - En prélude à la visite d'État du président de la république Alassane Ouattara dans la région de la Marahoué, la représentante des femmes du département de Zuénoula, Irié Lou Tina Jeanne, présidente de la coopérative "Boblan", a exprimé samedi 19 septembre 2020 les besoins de ses "sœurs", dans un entretien avec l'AIP.
Il s'agit essentiellement selon Irié Lou Tina, de doter les coopératives du vivrier et des vendeuses de poissons de Zuénoula, de véhicules KIA et de remorques de 10 tonnes pour permettre l'évacuation sur les marchés, les produits vivriers.
"Nous attendons impatiemment l'arrivée du président de la république. Nous sommes sommes des femmes du milieu rural et urbain. Nous partons dans les champs pour produire et nous partons dans les marchés pour vendre, nous avons besoin de ce matériel roulant", a-t-elle indiqué.
Elle a souhaité que le président se penche sur l'état des routes reliant le chef-lieu de département aux différentes sous-préfectures. Elle sollicite un appui financier au bénéfice des femmes pour leur permettre de mener des activités génératrices de revenus afin d'assurer leur autonomie.
Au niveau des fonds FAFCI logés à la Coopec de Zuénoula, elle plaide pour l'allègement des conditions d'octroi d'une part et d'autre part, pour le rééchelonnement des prêts contractés par certaines femmes qui éprouvent des difficultés dans le remboursement.
(AIP)
akr/gak/tm
Il s'agit essentiellement selon Irié Lou Tina, de doter les coopératives du vivrier et des vendeuses de poissons de Zuénoula, de véhicules KIA et de remorques de 10 tonnes pour permettre l'évacuation sur les marchés, les produits vivriers.
"Nous attendons impatiemment l'arrivée du président de la république. Nous sommes sommes des femmes du milieu rural et urbain. Nous partons dans les champs pour produire et nous partons dans les marchés pour vendre, nous avons besoin de ce matériel roulant", a-t-elle indiqué.
Elle a souhaité que le président se penche sur l'état des routes reliant le chef-lieu de département aux différentes sous-préfectures. Elle sollicite un appui financier au bénéfice des femmes pour leur permettre de mener des activités génératrices de revenus afin d'assurer leur autonomie.
Au niveau des fonds FAFCI logés à la Coopec de Zuénoula, elle plaide pour l'allègement des conditions d'octroi d'une part et d'autre part, pour le rééchelonnement des prêts contractés par certaines femmes qui éprouvent des difficultés dans le remboursement.
(AIP)
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