L’élection présidentielle en Côte d’Ivoire aura lieu le 31 octobre 2020, a réaffirmé le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré à l’issue du Conseil des ministres tenu ce mercredi 23 septembre 2020, à la préfecture de Bouaflé, en marge de la visite du chef de l’Etat, Alassane Ouattara dans la région.
"Les élections auront lieu dans le délai constitutionnel, il n’y a pas d’autres alternatives" a fait savoir le porte-parole du gouvernement ivoirien, précisant que " l’exercice de la démocratie ne peut pas faire l’économie du respect des textes". Pour lui, c’est un premier facteur qu’il faut intégrer définitivement. À en croire Sidi Touré, la Côte d’Ivoire s’est dotée librement d’une Constitution à travers un référendum qui fixe le délai constitutionnel de la tenue des élections, c’est-à-dire le week-end du mois par conséquent, en application des textes, la future élection présidentielle, c’est le 31 octobre 2020.
"Si nous devons aller d’exception en exception, jamais nous ne pourrons faire l’expérience réelle de la démocratie" a-t-il martelé. Avant d’ajouter que les exceptions tuent l’exercice de la démocratie sous nos tropiques. Pour sa part, le gouvernement, n’entend pas exploiter d’autres alternatives. "La date du 31 octobre 2020 est la date de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire. Il n’y a pas d’autres alternatives" a-t-il précisé.
S’expliquant sur la présence d’émissaires de l’Organisation des Nations unies (ONU) à Abidjan, Sidi Touré a rappelé que " la Côte d’Ivoire est membre de l’Onu, il est tout à fait normal que cette organisation vienne s’enquérir des nouvelles de la Côte d’Ivoire" surtout en cette période électorale. Selon lui, les envoyés des Nations Unies ne sont pas venus pour dicter quoi que ce soit aux pays contrairement à ce que veulent faire croire certaines personnes.
Cyprien K. envoyé Spécial
"Les élections auront lieu dans le délai constitutionnel, il n’y a pas d’autres alternatives" a fait savoir le porte-parole du gouvernement ivoirien, précisant que " l’exercice de la démocratie ne peut pas faire l’économie du respect des textes". Pour lui, c’est un premier facteur qu’il faut intégrer définitivement. À en croire Sidi Touré, la Côte d’Ivoire s’est dotée librement d’une Constitution à travers un référendum qui fixe le délai constitutionnel de la tenue des élections, c’est-à-dire le week-end du mois par conséquent, en application des textes, la future élection présidentielle, c’est le 31 octobre 2020.
"Si nous devons aller d’exception en exception, jamais nous ne pourrons faire l’expérience réelle de la démocratie" a-t-il martelé. Avant d’ajouter que les exceptions tuent l’exercice de la démocratie sous nos tropiques. Pour sa part, le gouvernement, n’entend pas exploiter d’autres alternatives. "La date du 31 octobre 2020 est la date de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire. Il n’y a pas d’autres alternatives" a-t-il précisé.
S’expliquant sur la présence d’émissaires de l’Organisation des Nations unies (ONU) à Abidjan, Sidi Touré a rappelé que " la Côte d’Ivoire est membre de l’Onu, il est tout à fait normal que cette organisation vienne s’enquérir des nouvelles de la Côte d’Ivoire" surtout en cette période électorale. Selon lui, les envoyés des Nations Unies ne sont pas venus pour dicter quoi que ce soit aux pays contrairement à ce que veulent faire croire certaines personnes.
Cyprien K. envoyé Spécial