Abidjan, Zuénoula est une terre de culture dont la tradition offre une des plus belles prestations artistiques avec une renommée internationale, a relevé vendredi 25 septembre 2020, le président de la République, Alassane Ouattara au cours d’un meeting dans ladite localité, dans le cadre de sa visite d’Etat dans la Marahoué.
« Je suis fier d’être dans ce département dont les populations ont énormément apporté à notre pays au niveau culturel. Il s’agit de la danse Zaouli, inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO », a déclaré M. Ouattara.
Il a félicité l’ensemble des acteurs qui contribuent à la promotion et à la pérennisation de cette valeur « si chère au monde et à notre pays ».
Le Zaouli, danse pratiquée au son d’une musique du même nom par les communautés Gouro de Côte d'Ivoire, a été inscrit en décembre 2017, sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de L’Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (UNESCO).
Il est le troisième bien culturel ivoirien sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel derrière le Gbofê d’Afounkaha (musique des trompes traversières de la communauté Tagbana) et les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo, qui avaient été inscrits respectivement en 2008 et 2012.
Le gouvernement travaille à inscrire d’autres biens culturels matériels et immatériels au patrimoine mondial de l’UNESCO. Au niveau matériel, il s’agit des pierres latéritiques d’Ahouakro (Taabo), les vestiges d’Assinie et les mosquées de types soudanais du nord du pays dont la plus célèbre est la grande mosquée de Kong. Les savoir-faire dans l’art à tisser du pagne Baoulé, Guéré, Gouro, Sénoufo, Yacouba, le masque échassier Yacouba, le masque Goli, la fête de l’Abissa, le Kouroubi, des fêtes de génération, le Fatchoue, sont sur la liste des biens immatériels candidats au patrimoine de l’UNESCO.
(AIP)
ena/ask
« Je suis fier d’être dans ce département dont les populations ont énormément apporté à notre pays au niveau culturel. Il s’agit de la danse Zaouli, inscrite au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO », a déclaré M. Ouattara.
Il a félicité l’ensemble des acteurs qui contribuent à la promotion et à la pérennisation de cette valeur « si chère au monde et à notre pays ».
Le Zaouli, danse pratiquée au son d’une musique du même nom par les communautés Gouro de Côte d'Ivoire, a été inscrit en décembre 2017, sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de L’Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (UNESCO).
Il est le troisième bien culturel ivoirien sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel derrière le Gbofê d’Afounkaha (musique des trompes traversières de la communauté Tagbana) et les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo, qui avaient été inscrits respectivement en 2008 et 2012.
Le gouvernement travaille à inscrire d’autres biens culturels matériels et immatériels au patrimoine mondial de l’UNESCO. Au niveau matériel, il s’agit des pierres latéritiques d’Ahouakro (Taabo), les vestiges d’Assinie et les mosquées de types soudanais du nord du pays dont la plus célèbre est la grande mosquée de Kong. Les savoir-faire dans l’art à tisser du pagne Baoulé, Guéré, Gouro, Sénoufo, Yacouba, le masque échassier Yacouba, le masque Goli, la fête de l’Abissa, le Kouroubi, des fêtes de génération, le Fatchoue, sont sur la liste des biens immatériels candidats au patrimoine de l’UNESCO.
(AIP)
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