Dans une analyse de la situation politique qui prévaut en ce moment en Côte d’Ivoire, Gervais Coulibaly, président du Cap Unir pour la Démocratie et le Développement appelle au dialogue et à la concertation.
"J’invite le Président de la République, à ouvrir le dialogue, avec la classe politique et la société civile, pendant qu’il en est encore temps, afin de trouver une plateforme d’accords, qui nous évitera la grave crise post-electorale que nous voyons tous poindre à l’horizon", a-t-il déclaré.
Au cours de la conférence de presse qui lui a servi de cadre d’expression ce samedi 26 septembre à Abidjan, le leader du parti social-démocrate a invité le pouvoir à ne pas s’attacher" au fétichisme" des dates, mais de créer un cadre de dialogue même si cela devait aboutir à un report des élections.
Car dit-il, " nous finirons de toutes les façons par dialoguer, alors évitons des destructions de biens publics et privés , des blessés, des prisonniers et même des pertes en vies humaines et discutons dès maintenant pendant qu’il est en est encore temps ".
La situation socio-politique à l’orée de la présidentielle du 31 octobre prochain reste très tendue en Côte d’Ivoire.
Atapointe
"J’invite le Président de la République, à ouvrir le dialogue, avec la classe politique et la société civile, pendant qu’il en est encore temps, afin de trouver une plateforme d’accords, qui nous évitera la grave crise post-electorale que nous voyons tous poindre à l’horizon", a-t-il déclaré.
Au cours de la conférence de presse qui lui a servi de cadre d’expression ce samedi 26 septembre à Abidjan, le leader du parti social-démocrate a invité le pouvoir à ne pas s’attacher" au fétichisme" des dates, mais de créer un cadre de dialogue même si cela devait aboutir à un report des élections.
Car dit-il, " nous finirons de toutes les façons par dialoguer, alors évitons des destructions de biens publics et privés , des blessés, des prisonniers et même des pertes en vies humaines et discutons dès maintenant pendant qu’il est en est encore temps ".
La situation socio-politique à l’orée de la présidentielle du 31 octobre prochain reste très tendue en Côte d’Ivoire.
Atapointe