Abidjan- Le ministère de la Promotion de la riziculture et le Centre national de recherche agronomique (CNRA) ont procédé, lundi 5 octobre 2020, à Abidjan, à la signature d’un protocole d’accords cadres en vue de parvenir à nouveau à l’autosuffisance en riz, comme en 1976, et de faire de la Côte d’Ivoire un exportateur de riz blanc et de semences.
Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement de la riziculture, adoptée par le gouvernement le 11 mars 2020.
« Le protocole d’accords-cadres prévoit pour le CNRA, entre autres, la charge de produire des semences de pré-base et de fournir des semences de base des variétés de riz aux multiplicateurs de semences certifiées (…), la charge de mettre en place un dispositif de promotion de traçabilité et d’assurance qualité des semences produites par les établissements semenciers (…) et enfin celle d’organiser des tests d’homologation des variétés de riz », a déclaré le directeur général du CNRA, Dr Yté Wongbé.
Selon M. Yté, le CNRA, chef de file de la recherche agronomique en Côte d’Ivoire, assumera ces charges comme il le fait déjà avec la filière coton pour la production des semences améliorées et le renouvellement des variétés de coton.
« Au total, le CNRA s’engage à exécuter les charges à lui confiées dans le cadre du présent protocole d’accords cadres. Celles-ci font partie intégrante de la mission de service public dévolue à notre centre par l’Etat de Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Le ministre de la Promotion de la riziculture, Gaoussou Touré, s’est félicité, pour sa part, de ce partenariat qui vise à améliorer et relever le défi de la production de riz, une denrée très consommée afin de combler les besoins de la population.
Le CNRA a été créé en 1998 suite à la dissolution de plusieurs structures de recherche (IDEFOR, IDESSA, CIRT) dans le but de mieux coordonner la recherche agronomique et obtenir de meilleurs résultats. Le CNRA regroupe ainsi plusieurs sites répartis sur l’ensemble du territoire national, rappelle-t-on.
tg/bsb/fmo
Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de développement de la riziculture, adoptée par le gouvernement le 11 mars 2020.
« Le protocole d’accords-cadres prévoit pour le CNRA, entre autres, la charge de produire des semences de pré-base et de fournir des semences de base des variétés de riz aux multiplicateurs de semences certifiées (…), la charge de mettre en place un dispositif de promotion de traçabilité et d’assurance qualité des semences produites par les établissements semenciers (…) et enfin celle d’organiser des tests d’homologation des variétés de riz », a déclaré le directeur général du CNRA, Dr Yté Wongbé.
Selon M. Yté, le CNRA, chef de file de la recherche agronomique en Côte d’Ivoire, assumera ces charges comme il le fait déjà avec la filière coton pour la production des semences améliorées et le renouvellement des variétés de coton.
« Au total, le CNRA s’engage à exécuter les charges à lui confiées dans le cadre du présent protocole d’accords cadres. Celles-ci font partie intégrante de la mission de service public dévolue à notre centre par l’Etat de Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Le ministre de la Promotion de la riziculture, Gaoussou Touré, s’est félicité, pour sa part, de ce partenariat qui vise à améliorer et relever le défi de la production de riz, une denrée très consommée afin de combler les besoins de la population.
Le CNRA a été créé en 1998 suite à la dissolution de plusieurs structures de recherche (IDEFOR, IDESSA, CIRT) dans le but de mieux coordonner la recherche agronomique et obtenir de meilleurs résultats. Le CNRA regroupe ainsi plusieurs sites répartis sur l’ensemble du territoire national, rappelle-t-on.
tg/bsb/fmo