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La Commission Electorale Indépendante (CEI) a reçu ce lundi 5 octobre, sa ‘’Stratégie genre’’ (SGCEI) rédigée par ONU Femme afin de lui permettre de mieux prendre en compte les enjeux liés à ses missions et relever les défis qui en découlent.
« La stratégie genre vient matérialiser cette volonté de la Côte d’Ivoire de renforcer la dimension sexospécifique de son paysage institutionnel et de ses interventions de développement » s’est félicitée Antonia Ngbala Sodonon, Représentante Résidente de ONU Femmes en Côte d’Ivoire, du fait que « la vision du pays se formalise de plus en plus, notamment avec l’adoption de lois sensibles à la dimension genre, à l’exemple de la constitution ivoirienne en vigueur et de la loi sur le quota de 30% de femmes dans les postes électifs. »
La SGCEI a pour but de permettre à la CEI de disposer d’un cadre cohérent d’intervention en matière de prise en compte de la sexospécificité et de l’égalité hommes-femmes dans la gestion et la gouvernance des processus électoraux en Côte d’Ivoire et pour vision de faire de la CEI, à l’horizon 2024, une Institution forte, crédible et qui promeut la participation des hommes et des femmes aux processus électoraux aussi bien en qualité de gestionnaires, électeur-e-s et candidat-e-s".
Pour ONU Femmes, la participation politique des femmes et des jeunes, filles et garçons constitue une priorité majeure. La participation pertinente des femmes au processus électoral ne saurait se faire sans une contribution et une implication majeures de la CEI.
« Ce document constitue, pour nous, une aubaine pour le renforcement de notre paysage stratégique d’intervention, dans la mesure où elle nous offre l’opportunité de disposer d’instruments pertinents pour démultiplier nos efforts de prise en compte du Genre dans la conduite de l’élection et de la gestion de toutes les étapes menant à l’évènement électoral » s’est réjoui le président de la CEI, Ibrahime Kuibiert-Coulibaly.
Par ailleurs, « pour la Commission Électorale Indépendante, le renforcement de la démocratie implique, nécessairement, une participation plus équitable des femmes, des jeunes et des hommes dans toutes les étapes du cycle électoral, aussi bien en tant qu’électeurs et électrices, gestionnaires que candidats et candidates » a-t-il ajouté.
Aussi, il a rappelé que sa structure a déjà matérialisé cette vision sensible au genre qui est déjà perceptible à travers un certain nombre de nos initiatives, notamment la production de statistiques électorales désagrégées par sexe et par âge, l’existence d’une fiche d’enregistrement des votants/votantes « genrée » depuis 2013 ainsi que l’inscription d’une section genre dans le formulaire du Procès-verbal du dépouillement dans les bureaux de votes.
La stratégie est structurée autour de trois (03) Axes Stratégiques dont développer les procédures, instruments et compétences d’intégration du genre dans la gestion administrative, technique et budgétaire de la CEI, systématiser la production, la diffusion, et l’utilisation des statistiques électorales désagrégées par sexe et par âge et promouvoir l’égalité entre les sexes et la participation des femmes et des jeunes dans les processus électoraux.
Elaborée avec l’appui financier et technique de ONU Femmes après sollicitation de la CEI, elle est issue d’un processus participatif qui a mobilisé l’ensemble des parties prenantes clefs du processus électoral ivoirien (CEI, ONG, Agences du Système des Nations Unies, ONG internationales, Partis politiques, organes de presse).
Sercom
« La stratégie genre vient matérialiser cette volonté de la Côte d’Ivoire de renforcer la dimension sexospécifique de son paysage institutionnel et de ses interventions de développement » s’est félicitée Antonia Ngbala Sodonon, Représentante Résidente de ONU Femmes en Côte d’Ivoire, du fait que « la vision du pays se formalise de plus en plus, notamment avec l’adoption de lois sensibles à la dimension genre, à l’exemple de la constitution ivoirienne en vigueur et de la loi sur le quota de 30% de femmes dans les postes électifs. »
La SGCEI a pour but de permettre à la CEI de disposer d’un cadre cohérent d’intervention en matière de prise en compte de la sexospécificité et de l’égalité hommes-femmes dans la gestion et la gouvernance des processus électoraux en Côte d’Ivoire et pour vision de faire de la CEI, à l’horizon 2024, une Institution forte, crédible et qui promeut la participation des hommes et des femmes aux processus électoraux aussi bien en qualité de gestionnaires, électeur-e-s et candidat-e-s".
Pour ONU Femmes, la participation politique des femmes et des jeunes, filles et garçons constitue une priorité majeure. La participation pertinente des femmes au processus électoral ne saurait se faire sans une contribution et une implication majeures de la CEI.
« Ce document constitue, pour nous, une aubaine pour le renforcement de notre paysage stratégique d’intervention, dans la mesure où elle nous offre l’opportunité de disposer d’instruments pertinents pour démultiplier nos efforts de prise en compte du Genre dans la conduite de l’élection et de la gestion de toutes les étapes menant à l’évènement électoral » s’est réjoui le président de la CEI, Ibrahime Kuibiert-Coulibaly.
Par ailleurs, « pour la Commission Électorale Indépendante, le renforcement de la démocratie implique, nécessairement, une participation plus équitable des femmes, des jeunes et des hommes dans toutes les étapes du cycle électoral, aussi bien en tant qu’électeurs et électrices, gestionnaires que candidats et candidates » a-t-il ajouté.
Aussi, il a rappelé que sa structure a déjà matérialisé cette vision sensible au genre qui est déjà perceptible à travers un certain nombre de nos initiatives, notamment la production de statistiques électorales désagrégées par sexe et par âge, l’existence d’une fiche d’enregistrement des votants/votantes « genrée » depuis 2013 ainsi que l’inscription d’une section genre dans le formulaire du Procès-verbal du dépouillement dans les bureaux de votes.
La stratégie est structurée autour de trois (03) Axes Stratégiques dont développer les procédures, instruments et compétences d’intégration du genre dans la gestion administrative, technique et budgétaire de la CEI, systématiser la production, la diffusion, et l’utilisation des statistiques électorales désagrégées par sexe et par âge et promouvoir l’égalité entre les sexes et la participation des femmes et des jeunes dans les processus électoraux.
Elaborée avec l’appui financier et technique de ONU Femmes après sollicitation de la CEI, elle est issue d’un processus participatif qui a mobilisé l’ensemble des parties prenantes clefs du processus électoral ivoirien (CEI, ONG, Agences du Système des Nations Unies, ONG internationales, Partis politiques, organes de presse).
Sercom
