Dabou- Une trentaine de journalistes et animateurs radio, membres du Réseau des professionnels des médias, des arts et de la culture engagés pour la promotion de la santé, de la lutte contre le Sida et les autres pandémies en Côte d’Ivoire (REPMASCI), participent depuis le mardi 06 octobre 2020 à Dabou, à un atelier de formation en technique de Plaidoyer pour l’accès aux soins d’avortements sécurisés en Côte d’Ivoire.
Cet atelier permettra aux participants de présenter le cadre légal de l’avortement, d’élaborer une stratégie de plaidoyer des droits de la santé sexuelle et reproductive et en particulier de l’accès à l’avortement médicalisé et enfin, de concevoir la cartographie des parties prenantes, pouvoir et influence. Ce sera l’occasion pour les participants de clarifier les valeurs et transformer les attitudes face à l’avortement.
Selon la présidente du conseil d’administration du REPMASCI, Bintou Sanogo, par ailleurs animatrice à Radio Côte d’Ivoire, ce thème engage tout le monde car l’avortement clandestin fait des dégâts en Côte d’Ivoire.
“Nous nous engageons à faire la promotion de la santé, encore plus la santé de la femme et de la petite fille”, a-t-elle dit, souhaitant qu’au sortir de cet atelier, les participants soient capables de produire des séries d’émissions de débat radio télévisés, des articles de presse, des spots, pour que la population puisse bien comprendre ce principe d’avortement sécurisé.
“Le partenariat entre le REPMASCI et IPAS permettra de mieux former les hommes de médias qui sont notre meilleur relais pour sensibiliser sur nos activités qui traitent des thèmes de sociétés tels que l’avortement sécurisé, mais aussi de l’allaitement, la planification familiale, l’immigration clandestine et autres”, a rappelé le représentant du directeur exécutif de IPAS, Gouro Bocoum.
L’atelier, qui bénéficie de l’appui technique et financier de IPAS, prend fin le samedi 10 octobre 2020. La section francophone de l’ONG internationale IPAS est présente en Côte d’Ivoire depuis 2018. Cette ONG intervient dans le renforcement des capacités techniques du plateau médical des établissements sanitaires et des personnels de santé ; dans le domaine de la santé sexuelle et reproductive ainsi que dans le plaidoyer auprès des gouvernants et l’implication des communautés sur la thématique de l’avortement sécurisé.
tls/cmas
Cet atelier permettra aux participants de présenter le cadre légal de l’avortement, d’élaborer une stratégie de plaidoyer des droits de la santé sexuelle et reproductive et en particulier de l’accès à l’avortement médicalisé et enfin, de concevoir la cartographie des parties prenantes, pouvoir et influence. Ce sera l’occasion pour les participants de clarifier les valeurs et transformer les attitudes face à l’avortement.
Selon la présidente du conseil d’administration du REPMASCI, Bintou Sanogo, par ailleurs animatrice à Radio Côte d’Ivoire, ce thème engage tout le monde car l’avortement clandestin fait des dégâts en Côte d’Ivoire.
“Nous nous engageons à faire la promotion de la santé, encore plus la santé de la femme et de la petite fille”, a-t-elle dit, souhaitant qu’au sortir de cet atelier, les participants soient capables de produire des séries d’émissions de débat radio télévisés, des articles de presse, des spots, pour que la population puisse bien comprendre ce principe d’avortement sécurisé.
“Le partenariat entre le REPMASCI et IPAS permettra de mieux former les hommes de médias qui sont notre meilleur relais pour sensibiliser sur nos activités qui traitent des thèmes de sociétés tels que l’avortement sécurisé, mais aussi de l’allaitement, la planification familiale, l’immigration clandestine et autres”, a rappelé le représentant du directeur exécutif de IPAS, Gouro Bocoum.
L’atelier, qui bénéficie de l’appui technique et financier de IPAS, prend fin le samedi 10 octobre 2020. La section francophone de l’ONG internationale IPAS est présente en Côte d’Ivoire depuis 2018. Cette ONG intervient dans le renforcement des capacités techniques du plateau médical des établissements sanitaires et des personnels de santé ; dans le domaine de la santé sexuelle et reproductive ainsi que dans le plaidoyer auprès des gouvernants et l’implication des communautés sur la thématique de l’avortement sécurisé.
tls/cmas