Ivoiriennes,
Ivoiriens,
Habitants de la Côte d’Ivoire,
Hommes et Femmes épris de paix et de justice,
Chers amis de la presse,
Nous, femmes des plateformes des partis de l’opposition et des organisations de la Société civile, qui souffrons dans notre chair, en tant que mères, épouses, sœurs, filles et citoyennes à part entière de cette chère Côte d’Ivoire, voudrions, à travers la présente déclaration, inviter toute nos sœurs à se mobiliser massivement, pour prendre part au grand meeting qui se tiendra ce samedi 10 octobre 2020 au stade Felix Houphouët Boigny.
Ce meeting s’inscrit dans le cadre du mot d’ordre de DESOBEISSANCE CIVILE lancé le 20 septembre dernier, par le Président Henri Konan BEDIE, et endossé par l’ensemble des 56 Partis politiques de l’opposition ainsi que des organisations de la société civile.
Par notre présence massive, nous voulons, aux côtés de nos Hommes et de nos Jeunes, élever nos voix pour exiger :
- Le retrait de la candidature illégale et anticonstitutionnelle du sieur Alassane Dramane Ouattara
- La Dissolution du Conseil constitutionnel aux ordres du pouvoir
- La dissolution de la CEI unicolore et inféodée
- L’audit de l’actuelle liste électorale par un cabinet international
- La libération, sans condition, des prisonniers politique et militaire parce qu’il en existe, contrairement à ce qu’on veut nous faire croire
Nous exigeons la libération de nos frères et sœurs emprisonnés:
Pulchérie GBALLET, YEBOUE Akissi Antoinette, KOUA Justin et toutes les femmes du GPS arrêtées lors de la marche du 13 Août dernier dont la présidente Anne Marie BONIFON.
Le retour des exilés politiques avec à leur tête, le Président Laurent GBAGBO, Le Président Guillaume Kigbafori SORO, les Ministres Charles BLE GOUDE, Anaky Kobena et le Maire Noël Akossi BENDJO.
Femmes de Côte d’Ivoire, le salut du peuple ivoirien est dans nos mains ; c’est nous qui donnons la vie, c’est qui éduquons la société et nous ne saurions nous rendre complice d’une nouvelle crise électorale après celle de 2010 qui a fait au moins 3000 morts.
Le pays compte donc sur nous à l’instar de nos devancières qui ont bravé les colons par l’historique marche sur Grand-Bassam ;
Nous représentons 49% de l’électorat en Côte d’Ivoire. Nous n’avons pas le droit de nous soustraire de la nouvelle écriture de l’histoire de notre pays.
Femmes de Côte d’Ivoire, un adage bien de chez nous dit que : « ce que Femme veut, DIEU le veut».
Avec foi, abnégation et amour, engageons-nous résolument pour la bataille du respect de notre loi fondamentale et la liberté d’expression dans notre pays.
Vive le respect de la constitution pour que vive le Cote d’Ivoire.
DIEU est amour.
Je vous remercie.
Mme Adèle N’DABIAN Secrétaire Exécutif chargée des femmes du PDCI-RDA
Ivoiriens,
Habitants de la Côte d’Ivoire,
Hommes et Femmes épris de paix et de justice,
Chers amis de la presse,
Nous, femmes des plateformes des partis de l’opposition et des organisations de la Société civile, qui souffrons dans notre chair, en tant que mères, épouses, sœurs, filles et citoyennes à part entière de cette chère Côte d’Ivoire, voudrions, à travers la présente déclaration, inviter toute nos sœurs à se mobiliser massivement, pour prendre part au grand meeting qui se tiendra ce samedi 10 octobre 2020 au stade Felix Houphouët Boigny.
Ce meeting s’inscrit dans le cadre du mot d’ordre de DESOBEISSANCE CIVILE lancé le 20 septembre dernier, par le Président Henri Konan BEDIE, et endossé par l’ensemble des 56 Partis politiques de l’opposition ainsi que des organisations de la société civile.
Par notre présence massive, nous voulons, aux côtés de nos Hommes et de nos Jeunes, élever nos voix pour exiger :
- Le retrait de la candidature illégale et anticonstitutionnelle du sieur Alassane Dramane Ouattara
- La Dissolution du Conseil constitutionnel aux ordres du pouvoir
- La dissolution de la CEI unicolore et inféodée
- L’audit de l’actuelle liste électorale par un cabinet international
- La libération, sans condition, des prisonniers politique et militaire parce qu’il en existe, contrairement à ce qu’on veut nous faire croire
Nous exigeons la libération de nos frères et sœurs emprisonnés:
Pulchérie GBALLET, YEBOUE Akissi Antoinette, KOUA Justin et toutes les femmes du GPS arrêtées lors de la marche du 13 Août dernier dont la présidente Anne Marie BONIFON.
Le retour des exilés politiques avec à leur tête, le Président Laurent GBAGBO, Le Président Guillaume Kigbafori SORO, les Ministres Charles BLE GOUDE, Anaky Kobena et le Maire Noël Akossi BENDJO.
Femmes de Côte d’Ivoire, le salut du peuple ivoirien est dans nos mains ; c’est nous qui donnons la vie, c’est qui éduquons la société et nous ne saurions nous rendre complice d’une nouvelle crise électorale après celle de 2010 qui a fait au moins 3000 morts.
Le pays compte donc sur nous à l’instar de nos devancières qui ont bravé les colons par l’historique marche sur Grand-Bassam ;
Nous représentons 49% de l’électorat en Côte d’Ivoire. Nous n’avons pas le droit de nous soustraire de la nouvelle écriture de l’histoire de notre pays.
Femmes de Côte d’Ivoire, un adage bien de chez nous dit que : « ce que Femme veut, DIEU le veut».
Avec foi, abnégation et amour, engageons-nous résolument pour la bataille du respect de notre loi fondamentale et la liberté d’expression dans notre pays.
Vive le respect de la constitution pour que vive le Cote d’Ivoire.
DIEU est amour.
Je vous remercie.
Mme Adèle N’DABIAN Secrétaire Exécutif chargée des femmes du PDCI-RDA