Abidjan - Le ministre des Affaires étrangères, Ally Coulibaly, a présenté mercredi 14 octobre 2020, la vision officielle de la situation en Côte d'Ivoire, en prélude de l'élection présidentielle du 31 octobre 2020.
Lors d'une réception en l'honneur du corps diplomatique et des représentants d'institutions internationales et régionales accrédités en Côte d'Ivoire, il a fait savoir que cette vision officielle se décline en quatre vérités.
La première vérité est que la légalité et la légitimité de la candidature du Président Alassane ne souffre d'aucun doute parce que le juge des élections qui demeure le Conseil constitutionnel les a reconnues.
Concernant la deuxième vérité, il a indiqué le Président Ouattara avait été clair dans une interview à un magazine parisien que la Côte d'Ivoire a connu un redressement spectaculaire et donc il ne laisserait pas des prédateurs sans foi ni loi anéantir tout ce qui a été fait.
Quant à la troisième vérité, dit-il, dans dans le domaine des libertés, le Président Alassane Ouattara regarde son bilan la tête haute et par son éducation familiale, sociale, académique et ses choix politiques, ne saurait être un dictateur.
Pour conclure, sur la quatrième vérité, le gouvernement ivoirien a pris toutes les dispositions pour la tenue, dans la paix, de l'élection présidentielle du 31 octobre 2020.
(AIP)
sdaf/cmas
Lors d'une réception en l'honneur du corps diplomatique et des représentants d'institutions internationales et régionales accrédités en Côte d'Ivoire, il a fait savoir que cette vision officielle se décline en quatre vérités.
La première vérité est que la légalité et la légitimité de la candidature du Président Alassane ne souffre d'aucun doute parce que le juge des élections qui demeure le Conseil constitutionnel les a reconnues.
Concernant la deuxième vérité, il a indiqué le Président Ouattara avait été clair dans une interview à un magazine parisien que la Côte d'Ivoire a connu un redressement spectaculaire et donc il ne laisserait pas des prédateurs sans foi ni loi anéantir tout ce qui a été fait.
Quant à la troisième vérité, dit-il, dans dans le domaine des libertés, le Président Alassane Ouattara regarde son bilan la tête haute et par son éducation familiale, sociale, académique et ses choix politiques, ne saurait être un dictateur.
Pour conclure, sur la quatrième vérité, le gouvernement ivoirien a pris toutes les dispositions pour la tenue, dans la paix, de l'élection présidentielle du 31 octobre 2020.
(AIP)
sdaf/cmas