Depuis le mercredi 14 au lundi 19 octobre 2020, les cours sont perturbés dans les écoles secondaires publiques et privées de Divo, par des élèves se réclamant de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) qui, tôt ce lundi, ont à nouveau fait sortir leurs camarades des classes pour dénoncer le coût des frais d’inscription, associés aux cotisations payées aux Comités de gestion (COGES).
Les lycées modernes 1 et 2, situés dans le même espace, au quartier Dialogue 1 de Divo, sont cités de façon récurrente par les élèves comme le point de départ des manifestations de ces quatre derniers jours ouvrables. En réponse, du jeudi 15 au vendredi 16 octobre, les cours ont été carrément arrêtés par les enseignants, surtout au lycée 3, où ceux-ci ont déclarés ne plus se sentir en sécurité.
Du côté des élèves, sous couvert d’anonymat, ils expliquent que les frais annexes et les frais d’inscription payés au COGES et parfois à des éducateurs, sont assez excessifs, sans que leur cadre d’étude ne soit amélioré. En plus des 11 000francs CFA des frais d’inscription au lycée 3, des éducateurs réclamaient 300 francs pour des fiches, tandis qu’aux lycées 1 et 2, les frais d’inscription, indique-t-on, seraient montés à 17 000 francs CFA.
Les élèves manifestants exigent donc la somme de 500 francs CFA des frais d’inscription pour les mettre à la disposition de leur syndicat, la FESCI, pour leur permettre de régler certains de leurs problèmes dans les établissements.
L’AIP n’a pu être reçu par la Direction régionale de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (DRENET-FP) de Divo, afin d’avoir plus d’éclairage sur les motifs des perturbations de l’école depuis quatre jours ouvrables.
(AIP)
jmk/fmo
Les lycées modernes 1 et 2, situés dans le même espace, au quartier Dialogue 1 de Divo, sont cités de façon récurrente par les élèves comme le point de départ des manifestations de ces quatre derniers jours ouvrables. En réponse, du jeudi 15 au vendredi 16 octobre, les cours ont été carrément arrêtés par les enseignants, surtout au lycée 3, où ceux-ci ont déclarés ne plus se sentir en sécurité.
Du côté des élèves, sous couvert d’anonymat, ils expliquent que les frais annexes et les frais d’inscription payés au COGES et parfois à des éducateurs, sont assez excessifs, sans que leur cadre d’étude ne soit amélioré. En plus des 11 000francs CFA des frais d’inscription au lycée 3, des éducateurs réclamaient 300 francs pour des fiches, tandis qu’aux lycées 1 et 2, les frais d’inscription, indique-t-on, seraient montés à 17 000 francs CFA.
Les élèves manifestants exigent donc la somme de 500 francs CFA des frais d’inscription pour les mettre à la disposition de leur syndicat, la FESCI, pour leur permettre de régler certains de leurs problèmes dans les établissements.
L’AIP n’a pu être reçu par la Direction régionale de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (DRENET-FP) de Divo, afin d’avoir plus d’éclairage sur les motifs des perturbations de l’école depuis quatre jours ouvrables.
(AIP)
jmk/fmo