L’Association de la presse étrangère en Côte d’Ivoire (Apeci) enregistre de façons incessantes des agressions physiques, verbales et des menaces sur les réseaux sociaux de la part de certains partisans des partis politiques, des forces de l’ordre à l’endroit des correspondants de la presse internationale
Adayé Julien correspondant de la Deutsche Welle, Zon Hilaire correspondant de Associated press, Roland Klohi de Sputnik Agence, Thaïs Brouck de France 24, Pierre Pinto de RFI, Jenna Lebras de Le Figaro ont fait l’objet de menaces et d’agressions.
Inquiète des conséquences de telles incitations sur la sécurité des journalistes, l’Association de la presse étrangère en Côte d’Ivoire dénonce avec fermeté, cette attitude des forces de l’ordre et des partisans des partis politiques visant à exposer les journalistes en général à la vindicte populaire.
Les journalistes doivent pouvoir continuer à exercer leurs missions d’information en toute sécurité.
Pour l’Apeci, l’élection présidentielle d’octobre 2020 doit être une occasion propice pour démontrer la vitalité politique et la maturité démocratique de ce pays à travers une presse libre exerçant dans un climat favorable aux conditions de travail du journaliste.
L’Apeci appelle les dirigeants des partis politiques, les leaders d’opinions, les guides religieux, les organisations non gouvernementales (…) à prendre toutes les mesures qui s’imposent afin que de tels actes ne se reproduisent plus.
Elle sollicite l’implication des autorités ivoiriennes en faveur de la liberté d’expression et de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leurs fonctions et également à faire passer le message dans leurs différentes communautés afin d’éviter de tels agissements à l’avenir et faire comprendre le rôle du journaliste.
La Présidente
M’ma CAMARA
Adayé Julien correspondant de la Deutsche Welle, Zon Hilaire correspondant de Associated press, Roland Klohi de Sputnik Agence, Thaïs Brouck de France 24, Pierre Pinto de RFI, Jenna Lebras de Le Figaro ont fait l’objet de menaces et d’agressions.
Inquiète des conséquences de telles incitations sur la sécurité des journalistes, l’Association de la presse étrangère en Côte d’Ivoire dénonce avec fermeté, cette attitude des forces de l’ordre et des partisans des partis politiques visant à exposer les journalistes en général à la vindicte populaire.
Les journalistes doivent pouvoir continuer à exercer leurs missions d’information en toute sécurité.
Pour l’Apeci, l’élection présidentielle d’octobre 2020 doit être une occasion propice pour démontrer la vitalité politique et la maturité démocratique de ce pays à travers une presse libre exerçant dans un climat favorable aux conditions de travail du journaliste.
L’Apeci appelle les dirigeants des partis politiques, les leaders d’opinions, les guides religieux, les organisations non gouvernementales (…) à prendre toutes les mesures qui s’imposent afin que de tels actes ne se reproduisent plus.
Elle sollicite l’implication des autorités ivoiriennes en faveur de la liberté d’expression et de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leurs fonctions et également à faire passer le message dans leurs différentes communautés afin d’éviter de tels agissements à l’avenir et faire comprendre le rôle du journaliste.
La Présidente
M’ma CAMARA