La vie a repris normalement à Lakota à l’exception du domaine du transport en commun qui tarde à se rétablir depuis l’élection présidentielle du samedi 31 octobre 2020, a constaté l’AIP.
Il s’agit en particulier des sociétés de transport en direction d’Abidjan. Dans les gares des sociétés ‘’ Express du Ranch’’, Lôh-Djiboua’’ ou ‘’ Express Sud-Bandama’’, la situation est la même depuis le 31 octobre, jour du scrutin. Les grilles sont closes. “Il n’y a pas de départ pour l’instant”, répond-t-on aux usagers. Un chauffeur rencontré à la gare de ‘’ l’express du Ranch’’ a expliqué que le personnel attend l’autorisation de la direction pour commencer à rouler.
Cette situation crée évidemment des désagréments aux usagers notamment ceux ayant quitté Abidjan pour la province. Dago Nadine, en service au Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angré, venue à Lakota pour fuir les violences d’Abidjan, ne peut plus rejoindre son service. Comme cette dame, plusieurs autres personnes se trouvent bloquées pour l’instant à Lakota.
Côté taxis-brousses, c’est seulement le mardi 03 novembre que les premiers véhicules ont commencé à rouler. Par mesure de prudence, les automobilistes ont garé leurs véhicules, explique-t-on.
Un véhicule de transport en commun, rappelle-t-on, affrété par la commission électorale indépendante (CEI) pour convoyer le matériel électoral avait été incendié à Goudouko, le jour du scrutin.
(AIP)
Il s’agit en particulier des sociétés de transport en direction d’Abidjan. Dans les gares des sociétés ‘’ Express du Ranch’’, Lôh-Djiboua’’ ou ‘’ Express Sud-Bandama’’, la situation est la même depuis le 31 octobre, jour du scrutin. Les grilles sont closes. “Il n’y a pas de départ pour l’instant”, répond-t-on aux usagers. Un chauffeur rencontré à la gare de ‘’ l’express du Ranch’’ a expliqué que le personnel attend l’autorisation de la direction pour commencer à rouler.
Cette situation crée évidemment des désagréments aux usagers notamment ceux ayant quitté Abidjan pour la province. Dago Nadine, en service au Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Angré, venue à Lakota pour fuir les violences d’Abidjan, ne peut plus rejoindre son service. Comme cette dame, plusieurs autres personnes se trouvent bloquées pour l’instant à Lakota.
Côté taxis-brousses, c’est seulement le mardi 03 novembre que les premiers véhicules ont commencé à rouler. Par mesure de prudence, les automobilistes ont garé leurs véhicules, explique-t-on.
Un véhicule de transport en commun, rappelle-t-on, affrété par la commission électorale indépendante (CEI) pour convoyer le matériel électoral avait été incendié à Goudouko, le jour du scrutin.
(AIP)