Alors que la Communauté internationale appelle aux gestes d’apaisement assortis d’un dialogue franc, constructif et surtout inclusif entre le pouvoir RHDP et toutes les forces politiques en Côte d’Ivoire, le régime d’Abidjan continue son acharnement contre les partis d’opposition et leurs leaders qui refusent de cautionner son passage en force du 31 Octobre 2020. Seulement quelques jours après l’assouplissement du dispositif des forces de l’ordre autour des résidences des principaux dirigeants de l’opposition, l’Union pour la Démocratie et pour la Paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), constate, ces jours ci, avec regret un soudain renforcement du blocus autour de la résidence de son président Dr Albert Mabri Toikeusse Abdallah, Président de la Plateforme Arc en Ciel. En plus des éléments des forces régulières de sécurité en faction, l’on note la présence de plusieurs civils lourdement armés aux abords de ladite résidence. Une situation qui fait régner une atmosphère de terreur dans tout le voisinage.
Inquiète pour la sécurité de son leader, de toute sa famille et des militants qui y sont, privés ainsi arbitrairement de tout mouvement, la Direction de l’UDPCI a commis un huissier, Commissaire de Justice et a eu le soutien d’une ONG Internationale de défense des droits de l’Homme qui sont allés faire ce constat de visu.
L’UDPCI proteste vigoureusement contre ce harcèlement continu et prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur les graves menaces que de tels actes d’intimidation font régner sur la cohésion sociale en Côte d’Ivoire. Elle condamne vigoureusement ce genre de dérives totalitaires qui sont aux antipodes du fonctionnement d’un Etat de Droit.
En tout état de cause, elle tient le pouvoir pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à la famille du président de l’UDPCI et à tous ceux qui sont à sa résidence dans un tel environnement.
Elle demande aux militants de ne pas se laisser distraire par ces actes d’intimidations puériles, de rester mobilisés et concentrés, à l’écoute de la Direction du Parti et des mots d’ordre de l’Opposition Ivoirienne.
Fait à Abidjan, le 24 Novembre 2020
Pour l’UDPCI
Le Secrétaire Général
BLE GUIRAO JEAN DABADEA
Inquiète pour la sécurité de son leader, de toute sa famille et des militants qui y sont, privés ainsi arbitrairement de tout mouvement, la Direction de l’UDPCI a commis un huissier, Commissaire de Justice et a eu le soutien d’une ONG Internationale de défense des droits de l’Homme qui sont allés faire ce constat de visu.
L’UDPCI proteste vigoureusement contre ce harcèlement continu et prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur les graves menaces que de tels actes d’intimidation font régner sur la cohésion sociale en Côte d’Ivoire. Elle condamne vigoureusement ce genre de dérives totalitaires qui sont aux antipodes du fonctionnement d’un Etat de Droit.
En tout état de cause, elle tient le pouvoir pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à la famille du président de l’UDPCI et à tous ceux qui sont à sa résidence dans un tel environnement.
Elle demande aux militants de ne pas se laisser distraire par ces actes d’intimidations puériles, de rester mobilisés et concentrés, à l’écoute de la Direction du Parti et des mots d’ordre de l’Opposition Ivoirienne.
Fait à Abidjan, le 24 Novembre 2020
Pour l’UDPCI
Le Secrétaire Général
BLE GUIRAO JEAN DABADEA