L'opposition ivoirienne a soulevé jeudi des préoccupations pour la suite des travaux du dialogue politique qui a repris, lundi, souhaitant entre autre la cessation des poursuites visant certains de ses responsables, dans une déclaration.
"La Coalition des plateformes et des partis politiques de l'opposition a décidé de prendre part aux travaux en vue de la prise en compte de ses préoccupations", a indiqué Armand Ouégnin, qui a lu la déclaration au siège du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (Pdci).
Ces préoccupations sont, entre autres, "l'élargissement du cadre de discussion à tous les acteurs politiques dans le cadre d'un dialogue national inclusif, la relecture de la loi organique et du Code électoral", a relevé M. Ouégnin.
L'opposition demande en outre "la prise en compte des arrêts de la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) sur la Commission électorale indépendante (CEI), la libération des prisonniers politiques et militaires".
Elle souhaite également le "retour de tous les exilés politiques avec à leur tête l'ancien président Laurent Gbagbo, l'ancien Premier ministre Soro Guillaume, M. Charles Blé Goudé, l'ex-maire Akossi Bendjo et la cessation des poursuites contre des membres de l'opposition".
La Coalition des plateformes et des partis politiques de l'opposition assure son "attachement au dialogue et au respect des textes qui régissent notre pays (et) au respect de la Constitution, notre loi fondamentale", a poursuivi M. Armand Ouégnin.
Selon M. Ouégnin, président de la plate-forme EDS dont le référent politique est Laurent Gbagbo, l'opposition a accepté de prendre part au dialogue politique au regard du cadrage prometteur fait par le Premier ministre qui veut une concertation fraternelle et des discussions franches.
L'opposition est revenue lundi à la table des discussions impliquant le gouvernement et la société civile, pour "écouter" les autorités et "décider de la ligne de conduite pour la suite des travaux", a-t-il souligné.
Les travaux du dialogue politique, regroupant l'opposition, le gouvernement et la société civile, devraient permettre des réglages pour une CEI consensuelle par l'adoption de mesures concertées permettant des élections transparentes et crédibles.
AP/ls/APA
"La Coalition des plateformes et des partis politiques de l'opposition a décidé de prendre part aux travaux en vue de la prise en compte de ses préoccupations", a indiqué Armand Ouégnin, qui a lu la déclaration au siège du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (Pdci).
Ces préoccupations sont, entre autres, "l'élargissement du cadre de discussion à tous les acteurs politiques dans le cadre d'un dialogue national inclusif, la relecture de la loi organique et du Code électoral", a relevé M. Ouégnin.
L'opposition demande en outre "la prise en compte des arrêts de la Cour africaine des droits de l'Homme et des peuples (CADHP) sur la Commission électorale indépendante (CEI), la libération des prisonniers politiques et militaires".
Elle souhaite également le "retour de tous les exilés politiques avec à leur tête l'ancien président Laurent Gbagbo, l'ancien Premier ministre Soro Guillaume, M. Charles Blé Goudé, l'ex-maire Akossi Bendjo et la cessation des poursuites contre des membres de l'opposition".
La Coalition des plateformes et des partis politiques de l'opposition assure son "attachement au dialogue et au respect des textes qui régissent notre pays (et) au respect de la Constitution, notre loi fondamentale", a poursuivi M. Armand Ouégnin.
Selon M. Ouégnin, président de la plate-forme EDS dont le référent politique est Laurent Gbagbo, l'opposition a accepté de prendre part au dialogue politique au regard du cadrage prometteur fait par le Premier ministre qui veut une concertation fraternelle et des discussions franches.
L'opposition est revenue lundi à la table des discussions impliquant le gouvernement et la société civile, pour "écouter" les autorités et "décider de la ligne de conduite pour la suite des travaux", a-t-il souligné.
Les travaux du dialogue politique, regroupant l'opposition, le gouvernement et la société civile, devraient permettre des réglages pour une CEI consensuelle par l'adoption de mesures concertées permettant des élections transparentes et crédibles.
AP/ls/APA