Yamoussoukro, Le réseau "activités minières durables" qui vise la mise en commun des ressources techniques et intellectuelles de plusieurs pays africains dans le secteur des mines a lancé ses activités le mardi 22 décembre 2020 à Yamoussoukro avec la validation de sa feuille de route globale pour les quatre prochaines années.
Le réseau s’inscrit dans le cadre du programme Partners qui regroupe trois centres d’excellence dont le centre leader est le centre africain d’excellence mine et environnement minier de l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB).
« C’est une coopération de plusieurs centres d’excellence financée par la Banque mondiale pour travailler sur les questions de la recherche scientifique afin de mettre en place des données , une communauté de chercheurs, une communauté de connaissances qui prennent en compte l’ensemble des différents acteurs sociaux, industriels du monde minier en Afrique de l’ouest », a expliqué le coordonnateur du réseau activités minières durables, Patrice Eba.
Il s’agit à travers cette collaboration d’assurer et d’atteindre l’idéal que représente l’activité minière responsable parce que « cette activité engendre beaucoup de conséquences néfastes comme l’impact sur l’environnement, sur les sociétés.
Nous sommes donc dans la dynamique d’aborder l’activité minière afin que les différentes communautés qui sont autour des sites d’exploitations puissent bénéficier au mieux tout en sauvegardant leur environnement immédiat », a-t-il ajouté.
Cet outil est financé par l’agence française de développement(AFD), géré par l’IRD (institut de recherche et de développement) en lien avec les différents centres.
(AIP)
gso/kam
Le réseau s’inscrit dans le cadre du programme Partners qui regroupe trois centres d’excellence dont le centre leader est le centre africain d’excellence mine et environnement minier de l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB).
« C’est une coopération de plusieurs centres d’excellence financée par la Banque mondiale pour travailler sur les questions de la recherche scientifique afin de mettre en place des données , une communauté de chercheurs, une communauté de connaissances qui prennent en compte l’ensemble des différents acteurs sociaux, industriels du monde minier en Afrique de l’ouest », a expliqué le coordonnateur du réseau activités minières durables, Patrice Eba.
Il s’agit à travers cette collaboration d’assurer et d’atteindre l’idéal que représente l’activité minière responsable parce que « cette activité engendre beaucoup de conséquences néfastes comme l’impact sur l’environnement, sur les sociétés.
Nous sommes donc dans la dynamique d’aborder l’activité minière afin que les différentes communautés qui sont autour des sites d’exploitations puissent bénéficier au mieux tout en sauvegardant leur environnement immédiat », a-t-il ajouté.
Cet outil est financé par l’agence française de développement(AFD), géré par l’IRD (institut de recherche et de développement) en lien avec les différents centres.
(AIP)
gso/kam