Abidjan - Le Congrès panafricain pour la justice et l'égalité des peuples (COJEP) dénonce "la guerre de positionnement et la logique de domination" de la Coalition pour la démocratie, la réconciliation et la paix (CDRP) et annonce la suspension de ses activités liées aux élections législatives dans cette plateforme.
Selon une note publiée par le secrétaire général de ce parti, Dr Patrice Saraka, "les appétits et autres guerres de positionnement entre des entités pourtant supposées être des partenaires" ont plaidé négativement sur leur participation à ce scrutin législatif prévu le 6 mars 2021.
Dans ce sens, des attitudes et des procédures de prises de décisions ont montré que "la priorité et le sens de l’action politique ne demeurent nullement les intérêts du peuple comme le font croire les déclarations publiques", poursuit-il. Pour lui, ces élections auraient dû être "une opportunité pour renforcer la cohésion et l'unité de l'opposition".
Les deux principaux partis d'opposition, le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) et le Front populaire ivoirien (FPI) ont annoncé début janvier avec leurs alliés, leur participation au scrutin du 6 mars.
Mi-janvier, le GPS, parti de l'ancien président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, a annoncé son boycott des législatives.
nmfa/cmas
Selon une note publiée par le secrétaire général de ce parti, Dr Patrice Saraka, "les appétits et autres guerres de positionnement entre des entités pourtant supposées être des partenaires" ont plaidé négativement sur leur participation à ce scrutin législatif prévu le 6 mars 2021.
Dans ce sens, des attitudes et des procédures de prises de décisions ont montré que "la priorité et le sens de l’action politique ne demeurent nullement les intérêts du peuple comme le font croire les déclarations publiques", poursuit-il. Pour lui, ces élections auraient dû être "une opportunité pour renforcer la cohésion et l'unité de l'opposition".
Les deux principaux partis d'opposition, le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) et le Front populaire ivoirien (FPI) ont annoncé début janvier avec leurs alliés, leur participation au scrutin du 6 mars.
Mi-janvier, le GPS, parti de l'ancien président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro, a annoncé son boycott des législatives.
nmfa/cmas