Ce sont 1266 candidats qui vont à l’assaut des 255 sièges de la future Assemblée nationale. Hier dimanche 31 janvier, la Commission électorale indépendant (Cei) a publié la liste des candidats retenus pour les élections législatives du 6 mars prochain. Une publication qui se fait conformément au calendrier du processus des prochaines élections législatives. Ce qui frappe à première vue en consultant cette liste de candidats, c’est que la compétition sera très ouverte dans plusieurs localités. Dans le District d’Abidjan, la bataille sera âpre entre les listes du Pdci-Rda, du Rhdp, Ensemble pour Agir menée par le Fpi et l’Udpci et des indépendants. Même son de cloche au niveau de Yopougon où la liste des députés sortants conduite par le député-maire Koné Kafana est en difficulté face à la coalition Pdci-Rda/Eds conduite par Georges Armand Ouégnin. Ce scrutin s’annonce également corsé dans la commune de Port-Bouët où nous avons un tableau identique aux dernières municipales avec un duel entre Dr Emmou Sylvestre, qui conduit la liste ‘’Union pour réconcilier les Ivoiriens’’ du Pdci-Rda et le ministre Fofana Siandou qui est tête de la liste ‘’La Côte d’Ivoire Solidaire’’, du Rhdp.
Pour rappel, lors des municipales en 2018, le candidat du Pdci-Rda, Dr Emmou avait étrillé son adversaire. Ça pourrait être une confirmation de l’hégémonie de l’opposition dans la cité balnéaire. Dans la région de la Marahoué, précisément dans le département de Bouaflé, la, bataille sera aussi engagée entre les candidats des partis politiques en présence et les candidats indépendants qui sont d’ailleurs très nombreux dans cette cité. Nous avons 12 candidats qui iront à l’assaut du seul siège de député dans cette circonscription. Idem, pour la Sous-préfecture de Bouaflé où 9 candidats vont devoir se battre pour le seul siège de député. Il faut souligner que dans la Commune de Bouaflé, le Pdci met dans la course son cheval gagnant, le maire Léhié Bi Lucien.
En Sous-préfecture, c’est M. Aby Richmond qui défendra les couleurs du parti septuagénaire. Avec la publication de la liste, hier, une étape importante vient d’être franchie pour les législatives du 6 mars prochain. Cela annonce, de façon implicite, l’ouverture de la précampagne. Autre fait important à révéler dans cette liste de candidat, c’est que les candidatures du secrétaire exécutif en Chef du Pdci, Maurice Kakou Guikahué, du président du Fpi, Affi N’guessan, et du député Alain Lobognon ont été validées malgré les ennuis judiciaires. Après la publication de la liste, s’ouvre la période des contentieux. Les candidats ont donc 8 jours pour porter leurs plaintes et autres griefs devant la Commission électorale indépendante.
JEROME N’DRI
Pour rappel, lors des municipales en 2018, le candidat du Pdci-Rda, Dr Emmou avait étrillé son adversaire. Ça pourrait être une confirmation de l’hégémonie de l’opposition dans la cité balnéaire. Dans la région de la Marahoué, précisément dans le département de Bouaflé, la, bataille sera aussi engagée entre les candidats des partis politiques en présence et les candidats indépendants qui sont d’ailleurs très nombreux dans cette cité. Nous avons 12 candidats qui iront à l’assaut du seul siège de député dans cette circonscription. Idem, pour la Sous-préfecture de Bouaflé où 9 candidats vont devoir se battre pour le seul siège de député. Il faut souligner que dans la Commune de Bouaflé, le Pdci met dans la course son cheval gagnant, le maire Léhié Bi Lucien.
En Sous-préfecture, c’est M. Aby Richmond qui défendra les couleurs du parti septuagénaire. Avec la publication de la liste, hier, une étape importante vient d’être franchie pour les législatives du 6 mars prochain. Cela annonce, de façon implicite, l’ouverture de la précampagne. Autre fait important à révéler dans cette liste de candidat, c’est que les candidatures du secrétaire exécutif en Chef du Pdci, Maurice Kakou Guikahué, du président du Fpi, Affi N’guessan, et du député Alain Lobognon ont été validées malgré les ennuis judiciaires. Après la publication de la liste, s’ouvre la période des contentieux. Les candidats ont donc 8 jours pour porter leurs plaintes et autres griefs devant la Commission électorale indépendante.
JEROME N’DRI