L'ex-président de l'Assemblée nationale ivoirienne par ailleurs président du Mouvement citoyen Générations et peuples solidaires (GPS, opposition) Guillaume Soro, a salué vendredi la récente remise en liberté des militantes de son mouvement politique exprimant son soutien à tous ceux qui demeurent incarcérés.
Cinq militantes de Générations et peuples solidaires (GPS), un mouvement citoyen présidé par l'ex-président du parlement ivoirien Guillaume Soro, qui ont été présentées à un juge d'instruction récemment à Abidjan, ont été libérées « sans condition » après plus de cinq mois de détention.
Ces femmes avaient été interpellées le 13 août 2020 par la police à Cocody, dans l’Est d’Abidjan, à l’occasion d’une marche de l’opposition contre un troisième mandat de Alassane Ouattara à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.
« Le président Guillaume Soro a tout d'abord tenu à saluer la libération récente des femmes de GPS », rapporte le service de communication de GPS dans un communiqué transmis à APA, ajoutant que M. Soro a "exprimé son soutien à tous ceux qui demeurent incarcérés" en demandant leur "libération rapide pour poursuivre leurs activités politiques".
Fin janvier dernier, cinq militantes de GPS détenues depuis plus de cinq mois, ont été relâchées « sans condition » à Abidjan.
Par ailleurs, M. Soro qui est en exil en Europe, a appelé toute l'opposition politique en Côte d'Ivoire à la cohésion et à l'union. « Le président de GPS appelle toute l'opposition politique à la cohésion et à l'union dans la défense des intérêts du peuple souverain de Côte d'Ivoire », indiqué le communiqué.
Plusieurs partis et mouvements politiques proches de M. Soro, a souligné le texte, ont « publiquement, volontairement et en toute liberté » appelé «en urgence », le président de GPS à mettre en œuvre le processus de regroupement et fusion dans l'optique de la « nécessaire union » de la famille GPS. Selon le communiqué , suite à ces appels à l'union et à la fusion, M. Soro va «dans le courant de la semaine », prendre toutes les dispositions utiles pour déclencher ledit processus.
« Le président de GPS tient à affirmer qu'il ne peut y avoir d'autre option qu'une fusion dans laquelle tous adhéreront de façon strictement libre et volontaire. Aucune contrainte, ni aucune obligation ne doivent être exercées », a conclu le texte.
LB/ls/APA
Cinq militantes de Générations et peuples solidaires (GPS), un mouvement citoyen présidé par l'ex-président du parlement ivoirien Guillaume Soro, qui ont été présentées à un juge d'instruction récemment à Abidjan, ont été libérées « sans condition » après plus de cinq mois de détention.
Ces femmes avaient été interpellées le 13 août 2020 par la police à Cocody, dans l’Est d’Abidjan, à l’occasion d’une marche de l’opposition contre un troisième mandat de Alassane Ouattara à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020.
« Le président Guillaume Soro a tout d'abord tenu à saluer la libération récente des femmes de GPS », rapporte le service de communication de GPS dans un communiqué transmis à APA, ajoutant que M. Soro a "exprimé son soutien à tous ceux qui demeurent incarcérés" en demandant leur "libération rapide pour poursuivre leurs activités politiques".
Fin janvier dernier, cinq militantes de GPS détenues depuis plus de cinq mois, ont été relâchées « sans condition » à Abidjan.
Par ailleurs, M. Soro qui est en exil en Europe, a appelé toute l'opposition politique en Côte d'Ivoire à la cohésion et à l'union. « Le président de GPS appelle toute l'opposition politique à la cohésion et à l'union dans la défense des intérêts du peuple souverain de Côte d'Ivoire », indiqué le communiqué.
Plusieurs partis et mouvements politiques proches de M. Soro, a souligné le texte, ont « publiquement, volontairement et en toute liberté » appelé «en urgence », le président de GPS à mettre en œuvre le processus de regroupement et fusion dans l'optique de la « nécessaire union » de la famille GPS. Selon le communiqué , suite à ces appels à l'union et à la fusion, M. Soro va «dans le courant de la semaine », prendre toutes les dispositions utiles pour déclencher ledit processus.
« Le président de GPS tient à affirmer qu'il ne peut y avoir d'autre option qu'une fusion dans laquelle tous adhéreront de façon strictement libre et volontaire. Aucune contrainte, ni aucune obligation ne doivent être exercées », a conclu le texte.
LB/ls/APA