Abidjan- En levant, en novembre 2020, sur les marchés internationaux, la somme d’1 milliard d'euros (environ 656 milliards de francs CFA), au taux de 5%, remboursable sur 10 ans, c’est une performance de classe mondiale que le Premier ministre ivoirien, Hamed Bakayoko, a réussie dans le cadre de l’Eurobond, démontrant, encore une fois, la qualité de la signature Côte d’Ivoire en matière de mobilisation de ressources sur les places financières internationales, analyse le directeur du centre d’information et de communication gouvernementale (CICG), Bakary Sanogo
Avec un nouveau code d’investissement attractif, une croissance moyenne de 8,6 % sur la période 2011-2019, on sait le pays crédible. C’est aussi une lapalissade de dire que les partenaires au développement les plus crédibles, comme la BAD, la Banque mondiale, le FMI, tout comme les investisseurs privés n’ont jamais été autant rassurés par la destination Côte d’Ivoire que depuis l’arrivée aux affaires du Président Alassane Ouattara. Ouattara étant un expert chevronné, dont les parfaites compréhension et maîtrise des enjeux et défis de la finance, de l’économie, ou du développement tout court sont établies à travers le monde.
Mais, le contexte de l’Eurobond de novembre 2020, avec les menaces en tout genre d’avant et d’après l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, fait de cette opération un haut fait d’arme, dont Hamed Bakayoko, par ailleurs ministre de la Défense, est crédité.
A ce contexte local, il faut ajouter le facteur exogène de la pandémie à Coronavirus. La performance de 7.2% de croissance attendue pour 2020 a été contrariée par la COVID-19, ramenant celle-ci à 1.8%. Et ce, dans un environnement international de récession de -4% dans le monde et de -3% en Afrique.
L’emprunt de novembre 2020 réaffirme donc la robustesse des fondamentaux de l’économie ivoirienne et surtout sa résilience à bien des chocs. Toutes choses qui sont la résultante des réformes hardies engagées depuis 2011 par le Président Alassane Ouattara, ancien Gouverneur de la BCEAO et ancien Directeur Général Adjoint du FMI.
Le grand mérite du Premier ministre Hamed Bakayoko vient surtout de ce que cette opération à l’international a été menée, sans roadshow, c’est-à-dire sans présence physique à la City à Londres ou à Wall Street à New York, du fait des restrictions liées au Coronavirus. Or, l’on sait l’importance de celle-ci pour mieux présenter son programme de développement et l’utilisation des montants escomptés.
Rien qu’à travers des visioconférences, le patron de la coordination de l’action gouvernementale et ses experts des ministères du Plan et du Développement, de l’Economie et des Finances et du Budget et du Portefeuille de l’Etat n’ont eu aucun mal à capter le montant recherché pour accompagner le développement du pays. Le dossier ivoirien était si solide, si bien ficelé que les marchés proposaient 5 milliards d’euros, soit cinq fois plus que le pays ne recherchait.
On le voit, l’apocalypse que certains politiciens oracles prédisaient pour le pays à l’occasion de l’élection présidentielle aurait pu conduire le Premier ministre Bakayoko à revoir le timing de l’opération. Mais, c’était sans compter avec sa détermination farouche à maintenir la dynamique globale de développement sur la période 2020-2030 et au-delà.
Les négationnistes s’étaient véritablement mépris sur ce qui fait la différence en Côte d’Ivoire, à savoir le socle en roc sur lequel repose le pays depuis 2011. Ce socle est le leadership et la vision du Président Alassane Ouattara.
En fait, les investisseurs avertis et bien familiers de la Côte d’Ivoire avaient d’emblée compris que le chaos annoncé ne reposait sur aucune analyse fiable. Pour eux, les fondamentaux de l’économie et surtout le bilan inattaquable du Président Ouattara sur la période 2011-2020 parlaient d’eux-mêmes. En outre, les perspectives positives de développement du pays qui réverbèrent sur toute l’économie ouest-africaine n’avaient pas non plus échappé aux marchés internationaux.
Qui plus est, après novembre 2020, et comme dans une véritable démonstration de force visant à achever de désillusionner les plus sceptiques, la qualité de la signature du pays se signalait encore avec l’Eurobond de février 2021. Cette opération s’est soldée par une mobilisation de 850 millions d’euros, soit 557 milliards de francs CFA, à un taux de 4.3 % sur 10 ans.
ask
Avec un nouveau code d’investissement attractif, une croissance moyenne de 8,6 % sur la période 2011-2019, on sait le pays crédible. C’est aussi une lapalissade de dire que les partenaires au développement les plus crédibles, comme la BAD, la Banque mondiale, le FMI, tout comme les investisseurs privés n’ont jamais été autant rassurés par la destination Côte d’Ivoire que depuis l’arrivée aux affaires du Président Alassane Ouattara. Ouattara étant un expert chevronné, dont les parfaites compréhension et maîtrise des enjeux et défis de la finance, de l’économie, ou du développement tout court sont établies à travers le monde.
Mais, le contexte de l’Eurobond de novembre 2020, avec les menaces en tout genre d’avant et d’après l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, fait de cette opération un haut fait d’arme, dont Hamed Bakayoko, par ailleurs ministre de la Défense, est crédité.
A ce contexte local, il faut ajouter le facteur exogène de la pandémie à Coronavirus. La performance de 7.2% de croissance attendue pour 2020 a été contrariée par la COVID-19, ramenant celle-ci à 1.8%. Et ce, dans un environnement international de récession de -4% dans le monde et de -3% en Afrique.
L’emprunt de novembre 2020 réaffirme donc la robustesse des fondamentaux de l’économie ivoirienne et surtout sa résilience à bien des chocs. Toutes choses qui sont la résultante des réformes hardies engagées depuis 2011 par le Président Alassane Ouattara, ancien Gouverneur de la BCEAO et ancien Directeur Général Adjoint du FMI.
Le grand mérite du Premier ministre Hamed Bakayoko vient surtout de ce que cette opération à l’international a été menée, sans roadshow, c’est-à-dire sans présence physique à la City à Londres ou à Wall Street à New York, du fait des restrictions liées au Coronavirus. Or, l’on sait l’importance de celle-ci pour mieux présenter son programme de développement et l’utilisation des montants escomptés.
Rien qu’à travers des visioconférences, le patron de la coordination de l’action gouvernementale et ses experts des ministères du Plan et du Développement, de l’Economie et des Finances et du Budget et du Portefeuille de l’Etat n’ont eu aucun mal à capter le montant recherché pour accompagner le développement du pays. Le dossier ivoirien était si solide, si bien ficelé que les marchés proposaient 5 milliards d’euros, soit cinq fois plus que le pays ne recherchait.
On le voit, l’apocalypse que certains politiciens oracles prédisaient pour le pays à l’occasion de l’élection présidentielle aurait pu conduire le Premier ministre Bakayoko à revoir le timing de l’opération. Mais, c’était sans compter avec sa détermination farouche à maintenir la dynamique globale de développement sur la période 2020-2030 et au-delà.
Les négationnistes s’étaient véritablement mépris sur ce qui fait la différence en Côte d’Ivoire, à savoir le socle en roc sur lequel repose le pays depuis 2011. Ce socle est le leadership et la vision du Président Alassane Ouattara.
En fait, les investisseurs avertis et bien familiers de la Côte d’Ivoire avaient d’emblée compris que le chaos annoncé ne reposait sur aucune analyse fiable. Pour eux, les fondamentaux de l’économie et surtout le bilan inattaquable du Président Ouattara sur la période 2011-2020 parlaient d’eux-mêmes. En outre, les perspectives positives de développement du pays qui réverbèrent sur toute l’économie ouest-africaine n’avaient pas non plus échappé aux marchés internationaux.
Qui plus est, après novembre 2020, et comme dans une véritable démonstration de force visant à achever de désillusionner les plus sceptiques, la qualité de la signature du pays se signalait encore avec l’Eurobond de février 2021. Cette opération s’est soldée par une mobilisation de 850 millions d’euros, soit 557 milliards de francs CFA, à un taux de 4.3 % sur 10 ans.
ask