Ci-dessous une déclaration de la présidente de l'Union républicaine pour la démocratie (Urd) Danièle Boni-Claverie sur les évènements du 18 février 1992.
Il y a des commémorations que l’on aimerait oublier car les événements qu’elles font resurgir à notre mémoire ne sont ni honorables ni glorieux.
La marche du 18 février 1992 en fait partie. Une marche de protestation du Fpi autorisée par le pouvoir d’alors qui se termine en chasse à l’homme, « l’homme » étant Laurent Gbagbo et son épouse Simone.
La rumeur persistante annonçait qu’un plan d’assassinat avait été concocté contre la personne de Laurent Gbagbo d’où l’émoi général. Cette rumeur, il faut bien le dire, avait galvanisé les militants et les sympathisants du Fpi qui étaient sortis... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan
Il y a des commémorations que l’on aimerait oublier car les événements qu’elles font resurgir à notre mémoire ne sont ni honorables ni glorieux.
La marche du 18 février 1992 en fait partie. Une marche de protestation du Fpi autorisée par le pouvoir d’alors qui se termine en chasse à l’homme, « l’homme » étant Laurent Gbagbo et son épouse Simone.
La rumeur persistante annonçait qu’un plan d’assassinat avait été concocté contre la personne de Laurent Gbagbo d’où l’émoi général. Cette rumeur, il faut bien le dire, avait galvanisé les militants et les sympathisants du Fpi qui étaient sortis... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan