Les représentants des candidats aux élections législatives du 06 mars 2021 à Dabou vont bientôt être formés par le Conseil national des droits de l'homme (CNDH).
Cette annonce a été faite, vendredi 19 février 2021, dans la grande salle de réunion de la préfecture de Dabou, par le conseiller spécial Traoré Sékou Tidiane, représentant la présidente nationale du CNDH, lors de la réunion conjointe (préfecture/CNDH) de sensibilisation pour des élections législatives apaisées, dans le respect des droits de l'homme.
Selon le conseiller spécial de la présidente du CNDH, les violences électorales sont liées en partie à l'ignorance, au manque de formation des électeurs et des représentants de candidats, respectivement sur la manière de voter, les procédures électorales, le dépouillement, la validation du résultat et sa diffusion.
Il s'est donc réjoui de la demande formulée "explicitement" par les candidats et s'est engagé à répondre favorablement à cette sollicitation, parce que, a-t-il justifié, " le conseil est dans sa mission de renforcement de capacités, de protection et de promotion des droits de l'homme".
Cette formation a situé le représentant de la CNDH, portera la connaissance et l'organisation du bureau électorale, le rôle des observateurs, comment voter, et comment veiller au mieux aux actes dans les bureaux de votes.
Pour Traoré Sékou Tidiane, si ces formations sont portées à leur terme, elles pourraient contribuer à réduire de façon significative, les risques de violences.
Cette initiative s'inscrit, dans le cadre d'une campagne nationale de sensibilisation pour des élections législatives apaisées, en collaboration avec la chambre des rois et chefs traditionnels et l'appui financier du Programme des nations unies pour le développement (PNUD)
Cette annonce a été faite, vendredi 19 février 2021, dans la grande salle de réunion de la préfecture de Dabou, par le conseiller spécial Traoré Sékou Tidiane, représentant la présidente nationale du CNDH, lors de la réunion conjointe (préfecture/CNDH) de sensibilisation pour des élections législatives apaisées, dans le respect des droits de l'homme.
Selon le conseiller spécial de la présidente du CNDH, les violences électorales sont liées en partie à l'ignorance, au manque de formation des électeurs et des représentants de candidats, respectivement sur la manière de voter, les procédures électorales, le dépouillement, la validation du résultat et sa diffusion.
Il s'est donc réjoui de la demande formulée "explicitement" par les candidats et s'est engagé à répondre favorablement à cette sollicitation, parce que, a-t-il justifié, " le conseil est dans sa mission de renforcement de capacités, de protection et de promotion des droits de l'homme".
Cette formation a situé le représentant de la CNDH, portera la connaissance et l'organisation du bureau électorale, le rôle des observateurs, comment voter, et comment veiller au mieux aux actes dans les bureaux de votes.
Pour Traoré Sékou Tidiane, si ces formations sont portées à leur terme, elles pourraient contribuer à réduire de façon significative, les risques de violences.
Cette initiative s'inscrit, dans le cadre d'une campagne nationale de sensibilisation pour des élections législatives apaisées, en collaboration avec la chambre des rois et chefs traditionnels et l'appui financier du Programme des nations unies pour le développement (PNUD)