Divo – Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) a réuni à la préfecture de Divo, les femmes leaders, les jeunes et les acteurs politiques, en vue de les sensibiliser à tout mettre en œuvre pour préserver l’actuel climat social apaisé, lors des législatives apaisées dans la région.
Présidée par le préfet de région, cette rencontre a été l’occasion pour les initiateurs de demander, jeudi 18 février 2020, à l’ensemble des acteurs de la société civile, aux jeunes et aux femmes d’amplifier le message pour des élections apaisées dans les familles, afin que Divo ne bascule pas à nouveau dans la violence au cours du scrutin législatif du 06 mars 2021 comme ce fut le cas lors de la présidentielle du 31 octobre 2020.
« Allez voter, parce que c’est votre droit. Mais, s’il y a des malentendus, des désaccords, surtout sur les résultats, il y a des voies de recours prévues par la loi pour protester, pour un règlement pacifique, en respectant la loi et en respectant le droit de l’autre », a déclaré le président du CNDH de la région du Lôh-Djiboua, Toumgbin Koffi Habib.
Le préfet de région Kouakou Assoman s’est réjoui de l’effort fourni par les populations, dans leur ensemble, pour parvenir à un climat apaisé, après les violences préélectorales des 21 et 22 août 2020 qui avaient fait huit morts, de nombreux blessés et des dégâts matériels. « Nous ne sommes plus dans la zone rouge, donc faisons-en sorte à préserver ce climat apaisé au cours des élections qui arrivent », a plaidé le préfet.
Le porte-parole de la chefferie traditionnelle, Bolou Christophe, a exprimé, de nouveau, son indignation sur les « morts inutiles » et les dégâts causés à l’occasion de la présidentielle d’octobre 2020 car, a-t-il noté, les politiciens parviennent, par la suite, à s’entendre, alors que les personnes tuées ne peuvent plus revenir à la vie. Il a interpellé les jeunes et les acteurs politiques pour que Divo ne bascule pas encore dans la violence.
A l’occasion des législatives du 06 mars, le CNDH initie, avec la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels (CNRCT), et avec l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), des campagnes de sensibilisation des populations et des acteurs politiques. Il est prévu 60 campagnes publiques de sensibilisation sur les places publiques, dont sept 53 à l’intérieur du pays.
(AIP)
Jmk/kp
Présidée par le préfet de région, cette rencontre a été l’occasion pour les initiateurs de demander, jeudi 18 février 2020, à l’ensemble des acteurs de la société civile, aux jeunes et aux femmes d’amplifier le message pour des élections apaisées dans les familles, afin que Divo ne bascule pas à nouveau dans la violence au cours du scrutin législatif du 06 mars 2021 comme ce fut le cas lors de la présidentielle du 31 octobre 2020.
« Allez voter, parce que c’est votre droit. Mais, s’il y a des malentendus, des désaccords, surtout sur les résultats, il y a des voies de recours prévues par la loi pour protester, pour un règlement pacifique, en respectant la loi et en respectant le droit de l’autre », a déclaré le président du CNDH de la région du Lôh-Djiboua, Toumgbin Koffi Habib.
Le préfet de région Kouakou Assoman s’est réjoui de l’effort fourni par les populations, dans leur ensemble, pour parvenir à un climat apaisé, après les violences préélectorales des 21 et 22 août 2020 qui avaient fait huit morts, de nombreux blessés et des dégâts matériels. « Nous ne sommes plus dans la zone rouge, donc faisons-en sorte à préserver ce climat apaisé au cours des élections qui arrivent », a plaidé le préfet.
Le porte-parole de la chefferie traditionnelle, Bolou Christophe, a exprimé, de nouveau, son indignation sur les « morts inutiles » et les dégâts causés à l’occasion de la présidentielle d’octobre 2020 car, a-t-il noté, les politiciens parviennent, par la suite, à s’entendre, alors que les personnes tuées ne peuvent plus revenir à la vie. Il a interpellé les jeunes et les acteurs politiques pour que Divo ne bascule pas encore dans la violence.
A l’occasion des législatives du 06 mars, le CNDH initie, avec la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels (CNRCT), et avec l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), des campagnes de sensibilisation des populations et des acteurs politiques. Il est prévu 60 campagnes publiques de sensibilisation sur les places publiques, dont sept 53 à l’intérieur du pays.
(AIP)
Jmk/kp