Daoukro - En prélude aux élections législatives du 6 mars 2021 à Daoukro, un Code de bonne conduite a été signé lundi 22 février 2021 à la préfecture, par toutes les forces vives de la localité à savoir, les responsables politiques, les candidats aux législatives, les chefs coutumiers et les responsables de la société civile.
A l'initiative du préfet de région de l'Iffou, préfet du département de Daoukro, Mme Aka Sonoh Julie, cette signature engage tous les signataires dans le souci de la préservation de la paix et de la cohésion sociale pour la période allant du 26 février 2021 jusqu'à la proclamation officielle des résultats, à conduire la campagne sans violences physiques ni sur les personnes, ni sur les biens, ni sur les infrastructures et équipements publics et privés.
Il va s'agir aussi pour les acteurs de s'abstenir de propos et comportements de nature à stigmatiser des individus, groupes de personnes ou d'intérêts. Pour tous différends pendant cette période électorale, les procédures administratives et légales sont prescrites, mais aussi recourir à l'autorité coutumière (chef de village, chef de terre) ou au cas échéant, la Commission Electorale Indépendante (CEI).
Egalement, il s'agit de sensibiliser les militants, sympathisants et électeurs à éviter l'usage de la violence comme mode de contestation et privilégier les procédures légales en vigueur. Aussi, il y figure l'obligation de mener une campagne civilisée et citoyenne, d'accepter les résultats des urnes, de féliciter le vainqueur de cette élection au terme de toutes les procédures et à la déclaration des résultats définitifs par le Conseil constitutionnel.
Au terme de cette rencontre, Mme Aka a exhorté au respect des engagements pris et réitéré son souhait de voir ces élections se tenir dans de bonnes conditions sans écueils et sans heurts dans la région.
caa/ebd/cmas
A l'initiative du préfet de région de l'Iffou, préfet du département de Daoukro, Mme Aka Sonoh Julie, cette signature engage tous les signataires dans le souci de la préservation de la paix et de la cohésion sociale pour la période allant du 26 février 2021 jusqu'à la proclamation officielle des résultats, à conduire la campagne sans violences physiques ni sur les personnes, ni sur les biens, ni sur les infrastructures et équipements publics et privés.
Il va s'agir aussi pour les acteurs de s'abstenir de propos et comportements de nature à stigmatiser des individus, groupes de personnes ou d'intérêts. Pour tous différends pendant cette période électorale, les procédures administratives et légales sont prescrites, mais aussi recourir à l'autorité coutumière (chef de village, chef de terre) ou au cas échéant, la Commission Electorale Indépendante (CEI).
Egalement, il s'agit de sensibiliser les militants, sympathisants et électeurs à éviter l'usage de la violence comme mode de contestation et privilégier les procédures légales en vigueur. Aussi, il y figure l'obligation de mener une campagne civilisée et citoyenne, d'accepter les résultats des urnes, de féliciter le vainqueur de cette élection au terme de toutes les procédures et à la déclaration des résultats définitifs par le Conseil constitutionnel.
Au terme de cette rencontre, Mme Aka a exhorté au respect des engagements pris et réitéré son souhait de voir ces élections se tenir dans de bonnes conditions sans écueils et sans heurts dans la région.
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