La chefferie traditionnelle et le Conseil national des droits de l’homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) œuvrent pour un scrutin législatif apaisé, au travers de différentes rencontres initiées à Séguéla (Centre-ouest).
« Election, c’est pas palabre, il faut que chacun comprenne qu’avant et après les élections, nous sommes tous des frères et des sœurs », a déclaré le 23 février 2021, le secrétaire général du directoire régional de la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels (CNRCT), Somadé Diomandé, au cours d’une séance de sensibilisation organisée sur le boulevard Alassane Ouattara par la délégation régionale du CNDHCI.
Pour le président régional de la commission régionale, Diomandé Kessé Edouard, les jeunes se doivent de préserver la cohésion sociale en ne commettant pas des actes de violence et en ayant recours aux voies légales pour contester tout manquement dans le processus électoral.
« Il faut que les populations et les forces de sécurité se donnent la main pour que prospère la stabilité au-delà des élections qui, somme toute, sont un jeu », s’est exprimé, samedi 27 février 2021, le conseiller du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Dr Kama Bérenger, lors d’un forum pour le renforcement du dialogue et de la confiance entre les forces de sécurité et les populations tenu à la préfecture.
A Séguéla, les élections pour le maire et les conseillers régionaux ont été émaillées de violences ayant entrainé la mort de deux personnes, rappelle-t-on.
(AIP)
« Election, c’est pas palabre, il faut que chacun comprenne qu’avant et après les élections, nous sommes tous des frères et des sœurs », a déclaré le 23 février 2021, le secrétaire général du directoire régional de la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels (CNRCT), Somadé Diomandé, au cours d’une séance de sensibilisation organisée sur le boulevard Alassane Ouattara par la délégation régionale du CNDHCI.
Pour le président régional de la commission régionale, Diomandé Kessé Edouard, les jeunes se doivent de préserver la cohésion sociale en ne commettant pas des actes de violence et en ayant recours aux voies légales pour contester tout manquement dans le processus électoral.
« Il faut que les populations et les forces de sécurité se donnent la main pour que prospère la stabilité au-delà des élections qui, somme toute, sont un jeu », s’est exprimé, samedi 27 février 2021, le conseiller du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Dr Kama Bérenger, lors d’un forum pour le renforcement du dialogue et de la confiance entre les forces de sécurité et les populations tenu à la préfecture.
A Séguéla, les élections pour le maire et les conseillers régionaux ont été émaillées de violences ayant entrainé la mort de deux personnes, rappelle-t-on.
(AIP)