Le candidat indépendant Bio Olivier Zady a pris une option sérieuse pour sa victoire le 6 mars prochain dans la circonscription de Saïoua-Nahio, estime son équipe de campagne, dans une note transmise à Abidjan.net.
Avec 10 candidats dont 7 indépendants, la circonscription électorale de Saïoua-Nahio veut tourner la page sombre de son développement. Cette région naguère prospère grâce au café et au cacao a sombré et n’est plus que misère et désolation. Saïoua est sale, remplie de détritus et d’immondices.
L’eau est servie 4 jours sur 7 à Saïoua où la campagne pour le scrutin législatif bat son plein. Parmi les candidats, Bio Olivier Zady, candidat indépendant qui a réussi un véritable test de mobilisation le vendredi 26 février dernier, lors du lancement de sa campagne. Une marée humaine acquise à sa cause a pris d’assaut l’espace réservé au meeting.
La majorité des cadres FPI de la circonscription ont apporté leur soutien à Olivier Zady qui a su démontrer son sens du devoir et de la redevabilité à l’endroit de ses parents. Avec ses frères et sœurs, au plus fort de la crise postélectorale de 2010-2011, il était au four et au moulin pour rassurer la population, apporter l’assistance matérielle et alimentaire.
Après 10 ans de parfaite collaboration, le temps est venu pour la population de lui témoigner reconnaissance.
C’est pourquoi, dimanche 28 février, entre 22h et 1h du matin, dans le village de Zézahio, les femmes n’ont pas hésité à sonner le tocsin de la mobilisation de l’électorat pour leur fils.
« Zady Bio Olivier est un feu, il faut bien l’activer », est la parole symbolique d’un refrain répété plusieurs fois par des chansonnières du village de Zezahio, situé à une vingtaine de kilomètres de Saioua.
A la conquête des voix pour son électorat, Zady Bio Bio Olivier continue sa course vers la victoire, ce samedi 27 février 2021, c’est l'ensemble des villages de KriDakouazahio qui l’accueille. Les femmes ne restent pas silencieuses à travers cette note musicale pour appeler les uns et les autres à voter celui qu’ils appellent « vagabond de la charité ».
Au cours de son périple, l’équipe du candidat indépendant montre posément la manière de voter.
Zady Bio Olivier a rassuré ses parents sur sa disponibilité, au-delà même des joutes électorales. « Dans la vie, c’est en fonction des actes que tu poses qu’on t’identifie. Si je gagne, si je ne gagne pas, je serai toujours là » a-t-il fait savoir.
Acteur de développement, ce fils de cultivateur, devenu par son abnégation, ingénieur en électro-mécanique, a toujours été aux côtés de ses parents. A Tézié, bien avant la campagne, il a apporté une assistance matérielle pour les travaux de construction de la mosquée. A ses parents musulmans, Olivier Zady, en plus de solliciter des prières, a prôné la cohésion sociale et la paix.
Aux jeunes déscolarisés, il a indiqué que seul le courage, par le regroupement associatif pourrait leur permettre de se sortir des mains de la précarité.
Pendant ce temps, à Saïoua ville, des « mercenaires » de Djédjé Mady, venus de Dimbokro, s’employaient à dénigrer Olivier Zady auprès d’une femme dans un restaurant. « Vous voulez que le vieux (Djédjé Mady, NDLR) quitte pourquoi ? Lui-là, (Olivier Zady, NDLR), s’il gagne, il ira remettre sa victoire au RHDP et à Ouattara pour 200 millions FCFA » soutient un.
Et son complice d’enfoncer le clou, présentant ces candidats indépendants ou autres cadres des régions qui rallient le parti présidentiel comme « des pauvres ». « Ils sont pauvres, intellectuellement et financièrement » a-t-il soutenu.
Celcom
Avec 10 candidats dont 7 indépendants, la circonscription électorale de Saïoua-Nahio veut tourner la page sombre de son développement. Cette région naguère prospère grâce au café et au cacao a sombré et n’est plus que misère et désolation. Saïoua est sale, remplie de détritus et d’immondices.
L’eau est servie 4 jours sur 7 à Saïoua où la campagne pour le scrutin législatif bat son plein. Parmi les candidats, Bio Olivier Zady, candidat indépendant qui a réussi un véritable test de mobilisation le vendredi 26 février dernier, lors du lancement de sa campagne. Une marée humaine acquise à sa cause a pris d’assaut l’espace réservé au meeting.
La majorité des cadres FPI de la circonscription ont apporté leur soutien à Olivier Zady qui a su démontrer son sens du devoir et de la redevabilité à l’endroit de ses parents. Avec ses frères et sœurs, au plus fort de la crise postélectorale de 2010-2011, il était au four et au moulin pour rassurer la population, apporter l’assistance matérielle et alimentaire.
Après 10 ans de parfaite collaboration, le temps est venu pour la population de lui témoigner reconnaissance.
C’est pourquoi, dimanche 28 février, entre 22h et 1h du matin, dans le village de Zézahio, les femmes n’ont pas hésité à sonner le tocsin de la mobilisation de l’électorat pour leur fils.
« Zady Bio Olivier est un feu, il faut bien l’activer », est la parole symbolique d’un refrain répété plusieurs fois par des chansonnières du village de Zezahio, situé à une vingtaine de kilomètres de Saioua.
A la conquête des voix pour son électorat, Zady Bio Bio Olivier continue sa course vers la victoire, ce samedi 27 février 2021, c’est l'ensemble des villages de KriDakouazahio qui l’accueille. Les femmes ne restent pas silencieuses à travers cette note musicale pour appeler les uns et les autres à voter celui qu’ils appellent « vagabond de la charité ».
Au cours de son périple, l’équipe du candidat indépendant montre posément la manière de voter.
Zady Bio Olivier a rassuré ses parents sur sa disponibilité, au-delà même des joutes électorales. « Dans la vie, c’est en fonction des actes que tu poses qu’on t’identifie. Si je gagne, si je ne gagne pas, je serai toujours là » a-t-il fait savoir.
Acteur de développement, ce fils de cultivateur, devenu par son abnégation, ingénieur en électro-mécanique, a toujours été aux côtés de ses parents. A Tézié, bien avant la campagne, il a apporté une assistance matérielle pour les travaux de construction de la mosquée. A ses parents musulmans, Olivier Zady, en plus de solliciter des prières, a prôné la cohésion sociale et la paix.
Aux jeunes déscolarisés, il a indiqué que seul le courage, par le regroupement associatif pourrait leur permettre de se sortir des mains de la précarité.
Pendant ce temps, à Saïoua ville, des « mercenaires » de Djédjé Mady, venus de Dimbokro, s’employaient à dénigrer Olivier Zady auprès d’une femme dans un restaurant. « Vous voulez que le vieux (Djédjé Mady, NDLR) quitte pourquoi ? Lui-là, (Olivier Zady, NDLR), s’il gagne, il ira remettre sa victoire au RHDP et à Ouattara pour 200 millions FCFA » soutient un.
Et son complice d’enfoncer le clou, présentant ces candidats indépendants ou autres cadres des régions qui rallient le parti présidentiel comme « des pauvres ». « Ils sont pauvres, intellectuellement et financièrement » a-t-il soutenu.
Celcom