Minignan, La candidate indépendante aux élections législatives du 6 mars 2021, Adjara Sangaré, se trouve seule dame parmi neuf hommes pour la députation dans la circonscription électorale 055, Kaniasso, Minignan et Sokoro, Communes et sous-préfectures.
Mme Sangaré affirme être non seulement candidate pour répondre aux aspirations du président de la république qui a souhaité voir 30 % de femmes dans les insistances de décision, mais aussi et surtout pour porter haut et fort la voix des populations du Folon.
Pour elle, les femmes souffrent encore du sous développement à cause de la non exécution des projets de développement initiés par le gouvernement et confiés aux collectivités locales. Il s'agit ainsi pour elle de jouer un rôle de contrôleur lors de ces joutes électorales.
L'anciennement directrice de l'Agence emploi jeunes à Yamoussoukro est confiante quant à son élection au soir du 6 mars 2021, sûre que les électeurs sauront faire le choix de la raison en votant massivement pour elle.
Le projet de loi sur le quota de 30% des femmes dans les assemblées élues, adopté en conseil des ministres en mars 2019 puis en octobre 2019 par l’Assemblée nationale se présente comme une réponse à un déséquilibre sur l’échiquier politique et aussi une amorce de la parité homme-femme dans la société pour certaines organisations, relève-t-on.
(AIP)
kd/tad/fmo
Mme Sangaré affirme être non seulement candidate pour répondre aux aspirations du président de la république qui a souhaité voir 30 % de femmes dans les insistances de décision, mais aussi et surtout pour porter haut et fort la voix des populations du Folon.
Pour elle, les femmes souffrent encore du sous développement à cause de la non exécution des projets de développement initiés par le gouvernement et confiés aux collectivités locales. Il s'agit ainsi pour elle de jouer un rôle de contrôleur lors de ces joutes électorales.
L'anciennement directrice de l'Agence emploi jeunes à Yamoussoukro est confiante quant à son élection au soir du 6 mars 2021, sûre que les électeurs sauront faire le choix de la raison en votant massivement pour elle.
Le projet de loi sur le quota de 30% des femmes dans les assemblées élues, adopté en conseil des ministres en mars 2019 puis en octobre 2019 par l’Assemblée nationale se présente comme une réponse à un déséquilibre sur l’échiquier politique et aussi une amorce de la parité homme-femme dans la société pour certaines organisations, relève-t-on.
(AIP)
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