Abidjan- Le suivi depuis sa salle de situations a permis au conseil national des droits de l’homme (CNDH), d’enregistrer 78 types d’incidents signalés sur sa plateforme d’alerte, à 18 heures, a déclaré lundi 08 mars 2021 à Abidjan, sa présidente, Namizata Sangaré lors d’une conférence de presse pour la publication de son rapport d’observation.
Ces incidents ont porté sur les opérations électorales et sont de nature sécuritaire dans 11 régions du pays, notamment dans le district d’Abidjan, la région du Bélier, Cavally, Denguélé, Gbêkê, Gboklé, Marahoué, Poro, San Pedro, Tonkpi et Zanzan.
Selon la présidente du CNDH, ces incidents ont porté sur des violences physiques, des destructions de biens y compris matériel électoral, des violences verbales et psychologiques y compris sur des observateurs, des incidents liés aux opérations électorales (fraude, retard, tablettes, (…).
Elle a expliqué qu’après la fermeture des bureaux de vote, les observateurs du CNDH ont documenté au moment et à la fin des dépouillements quelques incidents. Il s’agit notamment de manifestations (marches, meetings, conférence de presse) de candidats et de leurs partisans dans les circonscriptions électorales d’Agboville où les résultats du bureau de vote de Sokoura 2 ont été annulés au motif qu’il y avait plus de votants que d’inscrits, de Marcory, de Port-Bouët, de Toulepleu et de Yopougon.
Il a été question de la destruction de cinq urnes dans la région de la Nawa, notamment de quatre urnes, deux à au bureau de vote de Méagui Est A-B et deux au bureau de vote de l’EPP Norbert Carrefour à Méagui commune et une urne au bureau de vote EPP Broukro de Méagui Sous-précfecture.
Namizata Sangaré a signalé que sept urnes ont été emportées par des individus lors de leur transport à Biankouma dans la région du Tonkpi, après le dépouillement. Les bureaux de vote concernés sont N°01 d’EPP Blagouin, N°01 d’EPP Gbènè, N° 02 EPP Gama, N° 03 EPP Blapleu, N° 01 EPP Goulé, N°01 EPP Tokpapleu et d’EPP Gbalé.
« Les rapports de nos observateurs soulignent que ces incidents n’ont eu aucune conséquence sur les décomptes des voix de ces bureaux de vote, puisqu’ils sont survenus après les opérations de dépouillement et les urnes concernées ne contenaient pas les procès-verbaux de dépouillement », a assuré M. Sangaré.
gak/ask
Ces incidents ont porté sur les opérations électorales et sont de nature sécuritaire dans 11 régions du pays, notamment dans le district d’Abidjan, la région du Bélier, Cavally, Denguélé, Gbêkê, Gboklé, Marahoué, Poro, San Pedro, Tonkpi et Zanzan.
Selon la présidente du CNDH, ces incidents ont porté sur des violences physiques, des destructions de biens y compris matériel électoral, des violences verbales et psychologiques y compris sur des observateurs, des incidents liés aux opérations électorales (fraude, retard, tablettes, (…).
Elle a expliqué qu’après la fermeture des bureaux de vote, les observateurs du CNDH ont documenté au moment et à la fin des dépouillements quelques incidents. Il s’agit notamment de manifestations (marches, meetings, conférence de presse) de candidats et de leurs partisans dans les circonscriptions électorales d’Agboville où les résultats du bureau de vote de Sokoura 2 ont été annulés au motif qu’il y avait plus de votants que d’inscrits, de Marcory, de Port-Bouët, de Toulepleu et de Yopougon.
Il a été question de la destruction de cinq urnes dans la région de la Nawa, notamment de quatre urnes, deux à au bureau de vote de Méagui Est A-B et deux au bureau de vote de l’EPP Norbert Carrefour à Méagui commune et une urne au bureau de vote EPP Broukro de Méagui Sous-précfecture.
Namizata Sangaré a signalé que sept urnes ont été emportées par des individus lors de leur transport à Biankouma dans la région du Tonkpi, après le dépouillement. Les bureaux de vote concernés sont N°01 d’EPP Blagouin, N°01 d’EPP Gbènè, N° 02 EPP Gama, N° 03 EPP Blapleu, N° 01 EPP Goulé, N°01 EPP Tokpapleu et d’EPP Gbalé.
« Les rapports de nos observateurs soulignent que ces incidents n’ont eu aucune conséquence sur les décomptes des voix de ces bureaux de vote, puisqu’ils sont survenus après les opérations de dépouillement et les urnes concernées ne contenaient pas les procès-verbaux de dépouillement », a assuré M. Sangaré.
gak/ask