Sur 254 députés élus en Côté d’Ivoire, 32 sont des femmes. Au sein de l’hémicycle, elles représenteront 12,5% du total des élus. Bien loin des chiffres espérés après l’adoption en 2019, d’une loi ordonnant aux partis politiques de présenter au moins 30% de candidates pour les assemblées élues. La faible représentation des femmes au sein de l’Assemblée n’est pas une surprise : aucun des partis politiques n’a respecté la loi sur le quota.
Trente-deux femmes. 222 hommes. La législature 2021-2026 sera de nouveau marquée par un ratio hommes-femmes très déséquilibré. Certes, les femmes seront plus nombreuses qu’en 2016, mais l’avancée est minime : elles gagnent deux sièges seulement. C’est un « échec cuisant » commente Sylvia Apata, militante pour les droits des femmes et directrice de d’une ONG.
En 2019, une loi votée par l’Assemblée promettait de favoriser la représentativité politique des femmes, en instaurant un quota de 30% de candidates pour les assemblées élues. Problème : le code électoral n’a pas pris en compte cette nouvelle loi, elle n’a donc pas été respecté par les partis politiques. Ils ont aligné, en moyenne, 14% de femmes candidates.
Parmi elles, des figures de la chambre basse : Yasmina Ouégnin à Cocody est élue pour la 3e fois, de retour sous les couleurs du PDCI, 2e réélection aussi pour Kandia Camara à Abobo, qui pourrait toutefois être représentée par son suppléant à l’assemblée si elle conserve son poste de ministre de l’Education.
Trente-deux femmes. 222 hommes. La législature 2021-2026 sera de nouveau marquée par un ratio hommes-femmes très déséquilibré. Certes, les femmes seront plus nombreuses qu’en 2016, mais l’avancée est minime : elles gagnent deux sièges seulement. C’est un « échec cuisant » commente Sylvia Apata, militante pour les droits des femmes et directrice de d’une ONG.
En 2019, une loi votée par l’Assemblée promettait de favoriser la représentativité politique des femmes, en instaurant un quota de 30% de candidates pour les assemblées élues. Problème : le code électoral n’a pas pris en compte cette nouvelle loi, elle n’a donc pas été respecté par les partis politiques. Ils ont aligné, en moyenne, 14% de femmes candidates.
Parmi elles, des figures de la chambre basse : Yasmina Ouégnin à Cocody est élue pour la 3e fois, de retour sous les couleurs du PDCI, 2e réélection aussi pour Kandia Camara à Abobo, qui pourrait toutefois être représentée par son suppléant à l’assemblée si elle conserve son poste de ministre de l’Education.