Le 11 avril 2011, Laurent Gbagbo, son épouse et une quarantaine de proches étaient arrêtés par les forces fidèles à Alassane Ouattara. C’était il y a tout juste dix ans.
Laurent Gbagbo a beau avoir avalé un somnifère, il n’a pas dormi de la nuit. Il a l’œil hagard. Il est épuisé, un peu perdu, comme dans un état second. Les commandants Hervé Pélikan Touré, alias « Vetcho », et Morou Ouattara l’entourent. « Ne tuez pas mes enfants », glisse-t-il à l’oreille du premier qui lui enfile un gilet pare-balles. Un rebelle enlève son casque pour le lui mettre sur la tête.
Il est un peu plus de 13 heures, ce 11 avril 2011. L’ancien président vient d’être arrêté par les forces fidèles à Alassane Ouattara. C’est la fin de ce que l’on a appelé «... suite de l'article sur Jeune Afrique
Laurent Gbagbo a beau avoir avalé un somnifère, il n’a pas dormi de la nuit. Il a l’œil hagard. Il est épuisé, un peu perdu, comme dans un état second. Les commandants Hervé Pélikan Touré, alias « Vetcho », et Morou Ouattara l’entourent. « Ne tuez pas mes enfants », glisse-t-il à l’oreille du premier qui lui enfile un gilet pare-balles. Un rebelle enlève son casque pour le lui mettre sur la tête.
Il est un peu plus de 13 heures, ce 11 avril 2011. L’ancien président vient d’être arrêté par les forces fidèles à Alassane Ouattara. C’est la fin de ce que l’on a appelé «... suite de l'article sur Jeune Afrique