Monsieur le ministre, pouvez-vous dire un mot sur le discours du président Henri Konan Bédié ?
Le président Bédié a fait un très bon discours. C’est un discours qu’on attendait du Pdci. C’est un discours d’avenir. Un discours encourageant pour tous ceux et toutes celles qui sont pour la liberté et la réconciliation en Côte d’Ivoire. Nous voulons un pays fraternel, un pays uni, solidaire. C’est ce que j’ai ressenti dans le discours du président Bédié.
Vous êtes venu représenter le président Gbagbo à la cérémonie du Pdci. Vous qui avez ses nouvelles, il rentre quand ?
Nous avons voulu que le président Laurent Gbagbo rentre depuis longtemps. Aujourd’hui, Dieu nous aide avec la décision qui vient de tomber. J’espère qu’il rentrera très bientôt mais comme la Cpi a demandé que le pouvoir fasse en sorte que le président Gbagbo rentre dans des conditions de sécurité, on ne peut pas précipiter les choses. Donc, on attend que le pouvoir mette en place les conditions sécuritaires et cela va se faire incessamment. De notre côté, nous sommes prêts à l’accueillir. Tout ce que nous souhaitons, c’est que tout ce que la Cpi a demandé puisse être mis en application.
Il semble que la Cpi aurait ouvert une autre enquête en Côte d’Ivoire. Quelles sont vos attentes ?
La Cpi fait son travail. Depuis 2001, elle avait ambitionné de venir en Côte d’Ivoire pour faire ses enquêtes. Est-ce qu’elle a fait son enquête ? Je n’en sais rien. Tout dépend d’elle. Je n’ai rien à dire là-dessus. Ce que je sais, c’est que le président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé viennent d’être acquittés totalement. C’est ce qui est le plus important pour nous. Pendant 10 années, le président Gbagbo a vécu l’humiliation et aujourd’hui, la Cpi l’a réhabilité pour nous. Nous avons donc un sentiment de joie. Vous savez qu’on a sabré le champagne mais ça va continuer après. Il n’aurait pas dû aller là-bas. Ils l’ont emmené là-bas et la Communauté internationale l’a blanchi.
Propos recueillis par JB.K.
Le président Bédié a fait un très bon discours. C’est un discours qu’on attendait du Pdci. C’est un discours d’avenir. Un discours encourageant pour tous ceux et toutes celles qui sont pour la liberté et la réconciliation en Côte d’Ivoire. Nous voulons un pays fraternel, un pays uni, solidaire. C’est ce que j’ai ressenti dans le discours du président Bédié.
Vous êtes venu représenter le président Gbagbo à la cérémonie du Pdci. Vous qui avez ses nouvelles, il rentre quand ?
Nous avons voulu que le président Laurent Gbagbo rentre depuis longtemps. Aujourd’hui, Dieu nous aide avec la décision qui vient de tomber. J’espère qu’il rentrera très bientôt mais comme la Cpi a demandé que le pouvoir fasse en sorte que le président Gbagbo rentre dans des conditions de sécurité, on ne peut pas précipiter les choses. Donc, on attend que le pouvoir mette en place les conditions sécuritaires et cela va se faire incessamment. De notre côté, nous sommes prêts à l’accueillir. Tout ce que nous souhaitons, c’est que tout ce que la Cpi a demandé puisse être mis en application.
Il semble que la Cpi aurait ouvert une autre enquête en Côte d’Ivoire. Quelles sont vos attentes ?
La Cpi fait son travail. Depuis 2001, elle avait ambitionné de venir en Côte d’Ivoire pour faire ses enquêtes. Est-ce qu’elle a fait son enquête ? Je n’en sais rien. Tout dépend d’elle. Je n’ai rien à dire là-dessus. Ce que je sais, c’est que le président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé viennent d’être acquittés totalement. C’est ce qui est le plus important pour nous. Pendant 10 années, le président Gbagbo a vécu l’humiliation et aujourd’hui, la Cpi l’a réhabilité pour nous. Nous avons donc un sentiment de joie. Vous savez qu’on a sabré le champagne mais ça va continuer après. Il n’aurait pas dû aller là-bas. Ils l’ont emmené là-bas et la Communauté internationale l’a blanchi.
Propos recueillis par JB.K.