Vendredi 15 mai, il est 16h à Daoukro. Le corbillard, parti de la morgue, prend la direction de la paroisse Saint Pierre-Saint Paul. C’est la levée du corps du doyen Konan Henri, chargé de mission du président Henri Konan Bédié. Les pleurs déchirent le firmament. Le monde, venu de tous les horizons, se rassemble autour de la famille dans le lieu saint. 5 mn après, arrive le couple Bédié. Le président du Pdci-Rda, digne dans la douleur de la séparation de l’un de ses plus fidèles collaborateurs. Konan Henri est au milieu des siens. Sa famille politique, le Pdci-Rda, est réuni, du plus haut sommet à la base.
Le Secrétaire exécutif en chef, Pr Maurice Kakou Guikahué et plusieurs membres des instances du parti n’ont pas voulu laisser leur président seul dans la douleur. Les autorités administratives, militaires, coutumières, religieuses, les chefs coutumiers, le prince et la Reine de Bondoukou, parents, amis et connaissances, tous étaient là. Cette étape s’est voulue brève mais marquée par le témoignage dit par la fille aînée du défunt, Emma Konan. Qui a retracé toutes les étapes du passage de son père ici-bas. Sa vie professionnelle, politique, religieuse, sportive, ses relations avec le monde. La nuit funéraire sera scindée en deux moments. De 20h à 22h, la prière dans la paroisse pour le repos de l’âme de l’illustre disparu. De 23h à l’autre, ce fut la veillée traditionnelle qui a vu la prestation de plusieurs artistes dont le talentueux N’guess Bonsens et le Groupe Ahossi de Kangandi venu de Bongouanou. Samedi matin, place à l’hommage politique que le Pdci-Rda a bien voulu rendre à son fidèle serviteur. Suivra la messe de requiem, qui a enregistré la présence de hautes sommités du Clergé catholique. Mgr Paul Siméon Ahouana, archevêque métropolitain du Diocèse de Bouaké, annoncé au départ, a été représenté par son vicaire général, le révérend-père Alain Pierre Yao ; l’évêque émérite d’Abengourou, Bruno Kouamé et bien d’autres serviteurs de Dieu sont venus prier pour Konan Henri, lui qui a enseigné, des années durant, dans des écoles catholiques et a passé toute sa vie religieuse dans cette communauté. La messe a été officiée par le curé de la paroisse Saint Pierre-Saint Paul de Daoukro, Joseph Loukou.
Qui a trouvé les mots justes pour réconforter l’assistance du deuil, de la séparation et de la tristesse immense qui en découle. Quand vint l’ultime séparation, l’horloge indiquait midi. Le soleil est au zénith. Le long cortège se met en branle. Direction, le cimetière municipal de Daoukro. C’est là que le rideau est tombé sur la vie terrestre de Konan Kouakou Henri, qui a commencé en 1945.
JB KOUADIO
Le Secrétaire exécutif en chef, Pr Maurice Kakou Guikahué et plusieurs membres des instances du parti n’ont pas voulu laisser leur président seul dans la douleur. Les autorités administratives, militaires, coutumières, religieuses, les chefs coutumiers, le prince et la Reine de Bondoukou, parents, amis et connaissances, tous étaient là. Cette étape s’est voulue brève mais marquée par le témoignage dit par la fille aînée du défunt, Emma Konan. Qui a retracé toutes les étapes du passage de son père ici-bas. Sa vie professionnelle, politique, religieuse, sportive, ses relations avec le monde. La nuit funéraire sera scindée en deux moments. De 20h à 22h, la prière dans la paroisse pour le repos de l’âme de l’illustre disparu. De 23h à l’autre, ce fut la veillée traditionnelle qui a vu la prestation de plusieurs artistes dont le talentueux N’guess Bonsens et le Groupe Ahossi de Kangandi venu de Bongouanou. Samedi matin, place à l’hommage politique que le Pdci-Rda a bien voulu rendre à son fidèle serviteur. Suivra la messe de requiem, qui a enregistré la présence de hautes sommités du Clergé catholique. Mgr Paul Siméon Ahouana, archevêque métropolitain du Diocèse de Bouaké, annoncé au départ, a été représenté par son vicaire général, le révérend-père Alain Pierre Yao ; l’évêque émérite d’Abengourou, Bruno Kouamé et bien d’autres serviteurs de Dieu sont venus prier pour Konan Henri, lui qui a enseigné, des années durant, dans des écoles catholiques et a passé toute sa vie religieuse dans cette communauté. La messe a été officiée par le curé de la paroisse Saint Pierre-Saint Paul de Daoukro, Joseph Loukou.
Qui a trouvé les mots justes pour réconforter l’assistance du deuil, de la séparation et de la tristesse immense qui en découle. Quand vint l’ultime séparation, l’horloge indiquait midi. Le soleil est au zénith. Le long cortège se met en branle. Direction, le cimetière municipal de Daoukro. C’est là que le rideau est tombé sur la vie terrestre de Konan Kouakou Henri, qui a commencé en 1945.
JB KOUADIO