Pour faire face à la crise énergétique en Côte d’Ivoire, les chercheurs sont appelés à trouver des solutions pour la promotion de l’énergie solaire. Un appel à projet a été lancé, jeudi, par le Fonds pour la science, la technologie et l’innovation (Fonsti).
Qui est une structure mise en place par l’Etat pour le financement des projets de développement et de recherche et l’innovation de haute qualité. « Au-delà du monde universitaire, nous invitons tous les Ivoiriens pour des solutions innovantes pour améliorer la fourniture d’électricité aux populations ivoiriennes. Nous allons les accompagner, à travers des financements adaptés. L’une de nos missions essentielles est de mettre la science, la technologie et l’innovation au service du développement économique, sociale et culturelle de la Côte d’Ivoire. Quand le pays est en difficulté, il ne faut pas rester les bras croisés. Nous devons mobiliser les cerveaux, tout le potentiel d’intelligences de notre pays pour proposer des solutions. Nous sommes prêts à accompagner toute initiative s’inscrivant dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables en général et de l’énergie solaire en particulier en Côte d’Ivoire » a assuré le secrétaire général du Fonsti, Dr Sangaré Yaya. Qui a fait venir le directeur de l’Institut de recherche sur les énergies nouvelles (Iren), rattaché à l’Université Nangui-Abrogoua, le professeur titulaire Aka Boko. L’expert a fait savoir que « concernant le mixe énergétique, sur les 2 250 Mw (mégawatts) de puissance électrique que produit la Côte d’Ivoire, globalement 75% proviennent des centrales thermiques à fossiles (gaz naturel et pétrole) et 25% d’hydroélectricité. La part des énergies renouvelables hors hydraulique est donc embryonnaire.
Dans notre pays, ce sont les énergies photovoltaïques qui sont plus connues des Ivoiriens. Lorsqu’on prend par exemple, l’éolienne qui est basée sur la vitesse du vent (moins de 5mn/s en moyenne en Côte d’Ivoire), il n’y a pas de centrale de production d’électricité. L’accès à l’électricité doit profiter au plus grand nombre des habitants. Dans ce sens, le Gouvernement est engagé dans l’électrification rurale et les zones très reculées et hors réseau peuvent utiliser les solutions d’appoint avec l’énergie solaire voltaïque » a proposé l’expert.
JB KOUADIO
Qui est une structure mise en place par l’Etat pour le financement des projets de développement et de recherche et l’innovation de haute qualité. « Au-delà du monde universitaire, nous invitons tous les Ivoiriens pour des solutions innovantes pour améliorer la fourniture d’électricité aux populations ivoiriennes. Nous allons les accompagner, à travers des financements adaptés. L’une de nos missions essentielles est de mettre la science, la technologie et l’innovation au service du développement économique, sociale et culturelle de la Côte d’Ivoire. Quand le pays est en difficulté, il ne faut pas rester les bras croisés. Nous devons mobiliser les cerveaux, tout le potentiel d’intelligences de notre pays pour proposer des solutions. Nous sommes prêts à accompagner toute initiative s’inscrivant dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables en général et de l’énergie solaire en particulier en Côte d’Ivoire » a assuré le secrétaire général du Fonsti, Dr Sangaré Yaya. Qui a fait venir le directeur de l’Institut de recherche sur les énergies nouvelles (Iren), rattaché à l’Université Nangui-Abrogoua, le professeur titulaire Aka Boko. L’expert a fait savoir que « concernant le mixe énergétique, sur les 2 250 Mw (mégawatts) de puissance électrique que produit la Côte d’Ivoire, globalement 75% proviennent des centrales thermiques à fossiles (gaz naturel et pétrole) et 25% d’hydroélectricité. La part des énergies renouvelables hors hydraulique est donc embryonnaire.
Dans notre pays, ce sont les énergies photovoltaïques qui sont plus connues des Ivoiriens. Lorsqu’on prend par exemple, l’éolienne qui est basée sur la vitesse du vent (moins de 5mn/s en moyenne en Côte d’Ivoire), il n’y a pas de centrale de production d’électricité. L’accès à l’électricité doit profiter au plus grand nombre des habitants. Dans ce sens, le Gouvernement est engagé dans l’électrification rurale et les zones très reculées et hors réseau peuvent utiliser les solutions d’appoint avec l’énergie solaire voltaïque » a proposé l’expert.
JB KOUADIO