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La première rencontre du dialogue de haut niveau du « Comité de l’amélioration de l’environnement des affaires pour la promotion des investissements japonais en Côte d’Ivoire " a eu lieu ce vendredi 28 mai 2021, à l’Ambassade du Japon, Abidjan, Plateau,
Ce dialogue qui vise à réfléchir sur la promotion des investissements entre les deux pays a été présidé conjointement par ESSIS Emmanuel Esmel, Ministre de la Promotion de l’Investissement et du Développement du Secteur Privé et Son excellence KURAMITSU Hideaki, Ambassadeur Plénipotentiaire du Japon.
Selon Sem KURAMITSU Hideaki, ce comité est un mécanisme de concertation bilatérale périodique pour partager des enseignements sur les réalités actuelles auxquelles les entreprises japonaises font face et pour rechercher des solutions durables nécessaires, en s’appuyant sur les différents dispositifs de la politique du Gouvernement ivoirien en la matière.
« Au terme de cette rencontre, je peux dire que le première édition du dialogue de haut a permis des échanges fructueuses en présence du Ministre ivoirien Esmel ESSIS. (…) Ce comité marque une étape importante dans l’approfondissement des liens économiques entre nos deux pays », s’est réjoui l’ambassadeur japonais. Avant de souhaiter qu’avec les 15 entreprises déjà présentes dans le pays, que les performances économiques ivoiriennes contribuent d’avantage à attirer de nombreuses entreprises japonaises.
Prenant la parole, le Ministre ESSIS Emmanuel Esmel, a exprimé le vœu de voir le Japon impliquer dans l’ambition l’industrialisation de « notre économie ». L’une des raisons clés qui justifie la mise en place de ce comité qui va se réunir une fois par an.
« L’année dernière ce sont 159 milliards d’échanges économiques entre nos deux pays, qui sont loin des potentialités économiques ». C’est pourquoi dit-il « nous ambitionnons aujourd’hui de pouvoir mieux intégrer l’économie japonaise. Et ceux à travers le transfert de compétences, le transfert de technologie, formation et à pouvoir participer à l’industrialisation de notre économie », a-t-il souhaité.
Il a également ajouté que la Côte d’Ivoire a une économie résiliente et dynamique. Il en veut pour preuve le retour à la paix depuis 2011 ; les indications Doing business de la Banque Mondiale, la Côte d’Ivoire est passée de la 177e place en 2013 à 110e place ; l’indice de sécurité est relativement bas, et le taux de pauvreté est passé de 57% à moins de 30¨% , a rassuré le ministre ivoirien.
L’Accord bilatéral pour la promotion et la protection réciproques des investissements est rentrée en vigueur le 26 mars dernier. La Côte d’Ivoire devient le quatrième pays du continent africain qui a conclu l’Accord des investissements avec le Japon.
Ce Comité a été constitué en marge de la TICAD7 qui a eu lieu en 2019 à Yokohama. Le secteur privé devra assumer un rôle particulièrement important dans la perspective de la TICAD 8 prévue pour 2022 en Tunisie.
CT
Ce dialogue qui vise à réfléchir sur la promotion des investissements entre les deux pays a été présidé conjointement par ESSIS Emmanuel Esmel, Ministre de la Promotion de l’Investissement et du Développement du Secteur Privé et Son excellence KURAMITSU Hideaki, Ambassadeur Plénipotentiaire du Japon.
Selon Sem KURAMITSU Hideaki, ce comité est un mécanisme de concertation bilatérale périodique pour partager des enseignements sur les réalités actuelles auxquelles les entreprises japonaises font face et pour rechercher des solutions durables nécessaires, en s’appuyant sur les différents dispositifs de la politique du Gouvernement ivoirien en la matière.
« Au terme de cette rencontre, je peux dire que le première édition du dialogue de haut a permis des échanges fructueuses en présence du Ministre ivoirien Esmel ESSIS. (…) Ce comité marque une étape importante dans l’approfondissement des liens économiques entre nos deux pays », s’est réjoui l’ambassadeur japonais. Avant de souhaiter qu’avec les 15 entreprises déjà présentes dans le pays, que les performances économiques ivoiriennes contribuent d’avantage à attirer de nombreuses entreprises japonaises.
Prenant la parole, le Ministre ESSIS Emmanuel Esmel, a exprimé le vœu de voir le Japon impliquer dans l’ambition l’industrialisation de « notre économie ». L’une des raisons clés qui justifie la mise en place de ce comité qui va se réunir une fois par an.
« L’année dernière ce sont 159 milliards d’échanges économiques entre nos deux pays, qui sont loin des potentialités économiques ». C’est pourquoi dit-il « nous ambitionnons aujourd’hui de pouvoir mieux intégrer l’économie japonaise. Et ceux à travers le transfert de compétences, le transfert de technologie, formation et à pouvoir participer à l’industrialisation de notre économie », a-t-il souhaité.
Il a également ajouté que la Côte d’Ivoire a une économie résiliente et dynamique. Il en veut pour preuve le retour à la paix depuis 2011 ; les indications Doing business de la Banque Mondiale, la Côte d’Ivoire est passée de la 177e place en 2013 à 110e place ; l’indice de sécurité est relativement bas, et le taux de pauvreté est passé de 57% à moins de 30¨% , a rassuré le ministre ivoirien.
L’Accord bilatéral pour la promotion et la protection réciproques des investissements est rentrée en vigueur le 26 mars dernier. La Côte d’Ivoire devient le quatrième pays du continent africain qui a conclu l’Accord des investissements avec le Japon.
Ce Comité a été constitué en marge de la TICAD7 qui a eu lieu en 2019 à Yokohama. Le secteur privé devra assumer un rôle particulièrement important dans la perspective de la TICAD 8 prévue pour 2022 en Tunisie.
CT
