La Fondation allemande Friedrich Naumann (FNF) en collaboration avec le Centre d’Etudes et de Recherches Panafricaines et Globales (CERPAG) a tenu ce vendredi 11 juin 2021, à immeuble Carbone, Abidjan-Cocody, une journée de dialogues autour du thème « L’Afrique et sa diaspora à l’ère de la mondialisation ».
A l’ouverture, Magloire N’Dehi, chef de Bureau de la FNF a salué la tenue de cette rencontre qui s’inscrit dans la droite ligne de la vision de la fondation allemande.
« La question de la mondialisation, ne doit pas être abordée seulement dans les centres de recherches ou espace politique. Il faut que les citoyens s’approprient la thématique gage d’une Afrique moderne et forte », a exhorté le chef de Bureau de la Friedrich Naumann.
Cette rencontre selon Lacina Yeo , Directeur du CERPAG se veut transdisciplinaire. Ainsi, les différentes contributions constitueront un croisement des regards en philologies étrangères, sociologie, droit, histoire, littérature, philosophie, a signifié M. Lacina Yeo.
La rencontre est axée autour de quatre grands axes de questionnement à savoir « Racisme, négrophobie, colonisation et mémoire ; regards croisés: Afrique-Europe- Amérique: Ruptures, idées reçues, dialogues ; diaspora et développement, l’Afrique face aux nouvelles Routes de la soie : enjeux et défis ».
Pour le Directeur Général des Ivoiriens de l’extérieur (DGIE), Konaté Issiaka, la Diaspora est un élément essentiel de développement socioéconomique de nos pays. D’où l’importance de mobiliser toutes les parties prenantes afin qu’elle participe efficacement au développement.
Au cours du premier Panel, Docteur Brahima Diaby de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), est intervenu sur la « Fraternité Senghorienne ». En effet, à travers la mort de Georges Flyod, il faut comprendre que tout n’est pas parfait aux USA. Il appartient au noir de travailler dur pour transcender les barrières raciales.
Le deuxième intervenant, docteur Ahmadou Konaté de l’UFHB a pour sa part traité le sujet intitulé « Le racisme dans le monde arabo-musulman ». Selon lui, la solution réside dans la valorisation de l’homme noir dans le monde arabo-musulman. De ce fait, il faut développer la foi musulmane, ce qui contribuera à la décolonisation des mentalités.
Cette journée en partenariat avec la Friedrich Naumann et l’Université de Johannesburg (Afrique du sud) s’est déroulée en marge de la Journée de l’Afrique célébrée le 25 Mai dernier.
CT
A l’ouverture, Magloire N’Dehi, chef de Bureau de la FNF a salué la tenue de cette rencontre qui s’inscrit dans la droite ligne de la vision de la fondation allemande.
« La question de la mondialisation, ne doit pas être abordée seulement dans les centres de recherches ou espace politique. Il faut que les citoyens s’approprient la thématique gage d’une Afrique moderne et forte », a exhorté le chef de Bureau de la Friedrich Naumann.
Cette rencontre selon Lacina Yeo , Directeur du CERPAG se veut transdisciplinaire. Ainsi, les différentes contributions constitueront un croisement des regards en philologies étrangères, sociologie, droit, histoire, littérature, philosophie, a signifié M. Lacina Yeo.
La rencontre est axée autour de quatre grands axes de questionnement à savoir « Racisme, négrophobie, colonisation et mémoire ; regards croisés: Afrique-Europe- Amérique: Ruptures, idées reçues, dialogues ; diaspora et développement, l’Afrique face aux nouvelles Routes de la soie : enjeux et défis ».
Pour le Directeur Général des Ivoiriens de l’extérieur (DGIE), Konaté Issiaka, la Diaspora est un élément essentiel de développement socioéconomique de nos pays. D’où l’importance de mobiliser toutes les parties prenantes afin qu’elle participe efficacement au développement.
Au cours du premier Panel, Docteur Brahima Diaby de l’Université Félix Houphouët-Boigny (UFHB), est intervenu sur la « Fraternité Senghorienne ». En effet, à travers la mort de Georges Flyod, il faut comprendre que tout n’est pas parfait aux USA. Il appartient au noir de travailler dur pour transcender les barrières raciales.
Le deuxième intervenant, docteur Ahmadou Konaté de l’UFHB a pour sa part traité le sujet intitulé « Le racisme dans le monde arabo-musulman ». Selon lui, la solution réside dans la valorisation de l’homme noir dans le monde arabo-musulman. De ce fait, il faut développer la foi musulmane, ce qui contribuera à la décolonisation des mentalités.
Cette journée en partenariat avec la Friedrich Naumann et l’Université de Johannesburg (Afrique du sud) s’est déroulée en marge de la Journée de l’Afrique célébrée le 25 Mai dernier.
CT
