Aboisso - Le responsable de la formation continue de la préfecture de police du Sud-Comoé, Le Lt Bouabré Fulgence, a révélé mercredi 16 juin 2021, lors de la journée portes ouvertes organisée par le Réseau des acteurs ivoiriens des droits de l’homme (RAIDH) avec les forces de l’ordre que la région du Sud-Comoé, en dehors du département de Grand-Bassam, a enregistré 146 accidents de la circulation du 1er janvier 2021 au 31 mai 2021.
Selon M. Bouabré, parmi ces accidents 17 ont été mortels. Ils ont fait au total de 101 victimes dont 11 tuées, 99 dégâts corporels, 30 dégâts matériels et ont impliqué 182 engins dont 16 remorques, 35 camions, 46 mini cars 71 motocyclettes et 14 véhicules de type particulier.
La ville de Bonoua détient la palme avec 60% des accidents suivie d’Aboisso avec 30%. Les autres départements que sont Adiaké et Tiapoum se partagent les 10% a-t-il fait savoir.
Les causes de ces accidents, a-t-il révélé, sont nombreuses. Elles vont de l’imprudence des conducteurs à la conduite en état d’ébriété à l’excès de vitesse sur une voie serpentée à la non maitrise des engins à deux ou à trois roues généralement conduits par des mineurs ou par des personnes n’ayant pas le permis de conduire requis et au défaut de maitrise entres autres.
Les accidents de la circulation ont connu un pic en Côte d'Ivoire en 2021 amenant le ministère des Transports à prendre des mesures quant à la délivrance des permis de conduire et à initier avec les acteurs du secteur du transport des séances de sensibilisation des conducteurs.
Le RAIDH a organisé cette journée portes ouvertes dans le cadre de son projet « La paix par moi », financé par l’UE et Konrad Adenauer, note-t-on.
akn/fmo
Selon M. Bouabré, parmi ces accidents 17 ont été mortels. Ils ont fait au total de 101 victimes dont 11 tuées, 99 dégâts corporels, 30 dégâts matériels et ont impliqué 182 engins dont 16 remorques, 35 camions, 46 mini cars 71 motocyclettes et 14 véhicules de type particulier.
La ville de Bonoua détient la palme avec 60% des accidents suivie d’Aboisso avec 30%. Les autres départements que sont Adiaké et Tiapoum se partagent les 10% a-t-il fait savoir.
Les causes de ces accidents, a-t-il révélé, sont nombreuses. Elles vont de l’imprudence des conducteurs à la conduite en état d’ébriété à l’excès de vitesse sur une voie serpentée à la non maitrise des engins à deux ou à trois roues généralement conduits par des mineurs ou par des personnes n’ayant pas le permis de conduire requis et au défaut de maitrise entres autres.
Les accidents de la circulation ont connu un pic en Côte d'Ivoire en 2021 amenant le ministère des Transports à prendre des mesures quant à la délivrance des permis de conduire et à initier avec les acteurs du secteur du transport des séances de sensibilisation des conducteurs.
Le RAIDH a organisé cette journée portes ouvertes dans le cadre de son projet « La paix par moi », financé par l’UE et Konrad Adenauer, note-t-on.
akn/fmo