Oumé - Un bœuf en divagation a blessé grièvement, mercredi 16 juin 2021 vers 15 H, deux femmes et deux garçonnets à la Scierie Jacob, une localité située à sept kilomètres d’Oumé.
Des débandades dans tous les sens, des cris, tel est le spectacle peu ordinaire provoqué par le bœuf qui agressait les gens dans les rues de la Scierie Jacob. Dans ce chassé-croisé, l’animal a chargé quatre fois, blessant grièvement Mmes Bokalo Jeanne et Koné Safiatou, ainsi que deux petits garçons, Kouassi Kan Hervé et Kagnon Brice. Leur vie n’est pas en danger, a-t-on appris.
Appelés à la rescousse, des hommes munis notamment de gros bois et de machettes n’ont pu mettre hors d’état de nuire la bête agressive. Il a fallu l'intervention de Dicko Djibril, l’un des bouchers spécialistes de l’abattage des animaux qui, à l’aide d’une grosse corde, a terrassé le bœuf à partir de ses cornes.
A la Scierie Jacob, comme dans les autres localités du département d’Oumé, les bœufs, les moutons et les cabris sont régulièrement en divagation. Ils vont même jusqu'à saccager des repas dans des cours et détruire souvent des plantations de maïs, de manioc ou d'igname situées non loin des villages. Ce qui provoque souvent des conflits entre les villageois et les bouviers.
dl/bsp/cmas
Des débandades dans tous les sens, des cris, tel est le spectacle peu ordinaire provoqué par le bœuf qui agressait les gens dans les rues de la Scierie Jacob. Dans ce chassé-croisé, l’animal a chargé quatre fois, blessant grièvement Mmes Bokalo Jeanne et Koné Safiatou, ainsi que deux petits garçons, Kouassi Kan Hervé et Kagnon Brice. Leur vie n’est pas en danger, a-t-on appris.
Appelés à la rescousse, des hommes munis notamment de gros bois et de machettes n’ont pu mettre hors d’état de nuire la bête agressive. Il a fallu l'intervention de Dicko Djibril, l’un des bouchers spécialistes de l’abattage des animaux qui, à l’aide d’une grosse corde, a terrassé le bœuf à partir de ses cornes.
A la Scierie Jacob, comme dans les autres localités du département d’Oumé, les bœufs, les moutons et les cabris sont régulièrement en divagation. Ils vont même jusqu'à saccager des repas dans des cours et détruire souvent des plantations de maïs, de manioc ou d'igname situées non loin des villages. Ce qui provoque souvent des conflits entre les villageois et les bouviers.
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