L’école ivoirienne est malade. C’est un secret de polichinelle. Plusieurs raisons sont à l’origine de cette situation décriée par tous. Mais l’une des principales causes reste et demeure le comportement des élèves. Il faut dire les choses comme elles sont. Il y a désormais en Côte d’Ivoire, "une nouvelle "espèce" d’enfants" impossible à contrôler, à éduquer, à maitriser. Ce sont des "hors la loi" qui font ce qu’ils veulent sans que parents, éducateurs, enseignants puissent les en empêcher. Ils ne considèrent pas l’école, encore moins ses autres acteurs et partenaires.
Pour redresser l’école ivoirienne, il faut agir sévèrement sur les élèves, comme au temps passé. Surtout que beaucoup de phénomènes nouveaux comme l’internet et l’interdiction de taper sur l’apprenant, sont venus donner à une partie de la nouvelle génération d’élèves plus de liberté d’être des "bad boys" ou "bad girls".
La ministre Mariatou Koné doit songer donc à corser toutes les mesures pour aboutir à une école de discipline, de rigueur et de qualité.
D’abord, il faut calquer et implémenter partout sur le territoire national des valeurs qui ont fait ou continuent de faire le succès de certaines écoles, comme le Lycée des jeunes filles de Bouaké (Grand Bayu) à l’époque, le Lycée Sainte Marie de Cocody, encore et toujours. Cheveux courts, jupe paysanne, chaussures fermées pour les filles. Cheveux courts, complet kaki bien fourré, chaussures fermées obligatoire également pour les garçons. En clair, il faut un modèle d’habillement strict imposé à tous les élèves.
A côté de l’aspect vestimentaire, il faut renforcer la lutte contre la détention de téléphone portable androïde. Comme dans les aéroports, la direction de chaque établissement doit avoir une autorisation ministérielle pour effectuer des fouilles inopinées des sacs des élèves pour non seulement dénicher des portables androïdes, mais aussi des bouteilles d’alcool, des armes blanches, des armes à feu, des animaux de compagnie, des vidéos et revues pornographiques et même la drogue, car tout ça circule à l’école. En cela, pour la prochaine rentrée scolaire, il y a lieu de penser à créer "la police de l’école" pour épauler les éducateurs.
La ministre Mariatou Koné doit aussi avoir une importante réunion avec les éducateurs accompagnés des directeurs d’établissements. Elle devra mettre ses derniers face à leurs responsabilités et leur demander de redevenir "méchants". Pas dans le sens de faire du mal aux élèves, mais d’être intransigeants et sévères. Plus de cadeaux ou de plaisanteries face aux dérapages. Ces exigences doivent s’étendre aux jeunes enseignants qui ne devront plus être vus en train de papoter ou de boire avec des élèves dans des buvettes.
Ces mesures doivent être complétées par des sanctions connues des élèves et des parents. Un certain nombre d’absences non justifiées (3 par exemple) entrainent de facto le renvoi systématique de l’école. L’élève qui est trimbalé en conseil de discipline ou qui se fait renvoyer pour une faute grave n’a plus la possibilité de s’inscrire dans toute autre école en Côte d’Ivoire, qu’elle soit publique ou privée.
Un code de bonnes valeurs, d’éthique, de bonne conduite doit être rédigé, vulgarisé et distribué aux parents à l’inscription, dès la rentrée scolaire, pour que tout le monde soit au même niveau d’information.
La vie sociale dans les établissements doit être intensifiée par des programmes capables de révéler de nouveaux talents. C’est pourquoi, il faut intensifier les programmes sportifs en mettant l’accent sur l’Oissu dans toutes les disciplines (football, hand-ball, basket, athlétisme etc). Il faut encourager la création des clubs de littérature, les clubs d’anglais, les troupes de théâtre etc avec des prix annuels parrainés par le Premier ministre, le ministre de tutelle, le gouverneur du District, les présidents de Conseils régionaux, les députés, les sénateurs, les différents maires et des cadres ou opérateurs économiques ou tous les individus de toute râce évoluant dans n’importe quel domaine mais qui sont des modèles pour la jeunesse.
Il faut discipliner les enfants par la rigueur et le sens du travail bien fait. Ces propositions ne sont pas exhaustives et sont à enrichir.
Pour redresser l’école ivoirienne, il faut agir sévèrement sur les élèves, comme au temps passé. Surtout que beaucoup de phénomènes nouveaux comme l’internet et l’interdiction de taper sur l’apprenant, sont venus donner à une partie de la nouvelle génération d’élèves plus de liberté d’être des "bad boys" ou "bad girls".
La ministre Mariatou Koné doit songer donc à corser toutes les mesures pour aboutir à une école de discipline, de rigueur et de qualité.
D’abord, il faut calquer et implémenter partout sur le territoire national des valeurs qui ont fait ou continuent de faire le succès de certaines écoles, comme le Lycée des jeunes filles de Bouaké (Grand Bayu) à l’époque, le Lycée Sainte Marie de Cocody, encore et toujours. Cheveux courts, jupe paysanne, chaussures fermées pour les filles. Cheveux courts, complet kaki bien fourré, chaussures fermées obligatoire également pour les garçons. En clair, il faut un modèle d’habillement strict imposé à tous les élèves.
A côté de l’aspect vestimentaire, il faut renforcer la lutte contre la détention de téléphone portable androïde. Comme dans les aéroports, la direction de chaque établissement doit avoir une autorisation ministérielle pour effectuer des fouilles inopinées des sacs des élèves pour non seulement dénicher des portables androïdes, mais aussi des bouteilles d’alcool, des armes blanches, des armes à feu, des animaux de compagnie, des vidéos et revues pornographiques et même la drogue, car tout ça circule à l’école. En cela, pour la prochaine rentrée scolaire, il y a lieu de penser à créer "la police de l’école" pour épauler les éducateurs.
La ministre Mariatou Koné doit aussi avoir une importante réunion avec les éducateurs accompagnés des directeurs d’établissements. Elle devra mettre ses derniers face à leurs responsabilités et leur demander de redevenir "méchants". Pas dans le sens de faire du mal aux élèves, mais d’être intransigeants et sévères. Plus de cadeaux ou de plaisanteries face aux dérapages. Ces exigences doivent s’étendre aux jeunes enseignants qui ne devront plus être vus en train de papoter ou de boire avec des élèves dans des buvettes.
Ces mesures doivent être complétées par des sanctions connues des élèves et des parents. Un certain nombre d’absences non justifiées (3 par exemple) entrainent de facto le renvoi systématique de l’école. L’élève qui est trimbalé en conseil de discipline ou qui se fait renvoyer pour une faute grave n’a plus la possibilité de s’inscrire dans toute autre école en Côte d’Ivoire, qu’elle soit publique ou privée.
Un code de bonnes valeurs, d’éthique, de bonne conduite doit être rédigé, vulgarisé et distribué aux parents à l’inscription, dès la rentrée scolaire, pour que tout le monde soit au même niveau d’information.
La vie sociale dans les établissements doit être intensifiée par des programmes capables de révéler de nouveaux talents. C’est pourquoi, il faut intensifier les programmes sportifs en mettant l’accent sur l’Oissu dans toutes les disciplines (football, hand-ball, basket, athlétisme etc). Il faut encourager la création des clubs de littérature, les clubs d’anglais, les troupes de théâtre etc avec des prix annuels parrainés par le Premier ministre, le ministre de tutelle, le gouverneur du District, les présidents de Conseils régionaux, les députés, les sénateurs, les différents maires et des cadres ou opérateurs économiques ou tous les individus de toute râce évoluant dans n’importe quel domaine mais qui sont des modèles pour la jeunesse.
Il faut discipliner les enfants par la rigueur et le sens du travail bien fait. Ces propositions ne sont pas exhaustives et sont à enrichir.