Yamoussoukro – Les sociétés coopératives certifiées "commerce équitable" au sein du réseau Fairtrade-Africa ont appelé à la création d’un cadre d’échanges entre eux et les exportateurs, à l’issue de leur convention qui s’est achevée mercredi 14 juillet 2021 à Yamoussoukro.
Cette rencontre qui a lieu tous les deux ans est élargie à tous les acteurs de la chaine de valeur cacao et est consacrée à des réflexions sur leurs préoccupations du moment.
L’appel de Yamoussoukro est une préoccupation partagée par Fairtrade Africa qui, en initiant cette convention, entend faire « un réseautage entre les producteurs, les exportateurs et les chocolatiers pour que tous les acteurs de la chaine de valeur se retrouvent pour discuter des questions qui les lient », a expliqué son directeur des opérations pour l’Afrique de l’Ouest, Téhoua Annet Etienne.
Les producteurs, qui restent unanimes qu’avec cette certification leurs produits sont de meilleure qualité avec au bout une augmentation de la production, appellent de tous leurs vœux l’émergence d’un cadre de discussion plus formel avec tous les intervenants en vue de tirer profit des efforts fournis. Et ce, même s’ils admettent qu’avec les bénéfices liés au commerce équitable notamment la prime et le différentiel Fairtrade, les revenus se sont améliorés.
Le premier point de la convention de 2021 a permis de renouveler les membres de la gouvernance du réseau en tenant compte notamment des nouvelles adhésions.
Et le second a été consacré à une réflexion commune sur les voies et moyens d’améliorer l’accès de tous les producteurs aux marchés.
« Fairtrade, dans ce contexte, se devait d’inviter des partenaires stratégiques pour que le lien entre producteurs et acheteurs soit créé afin de permettre un libre accès aux marchés et d’améliorer les conditions de vie des producteurs », a indiqué Téhoua Annet.
gso/cmas
Cette rencontre qui a lieu tous les deux ans est élargie à tous les acteurs de la chaine de valeur cacao et est consacrée à des réflexions sur leurs préoccupations du moment.
L’appel de Yamoussoukro est une préoccupation partagée par Fairtrade Africa qui, en initiant cette convention, entend faire « un réseautage entre les producteurs, les exportateurs et les chocolatiers pour que tous les acteurs de la chaine de valeur se retrouvent pour discuter des questions qui les lient », a expliqué son directeur des opérations pour l’Afrique de l’Ouest, Téhoua Annet Etienne.
Les producteurs, qui restent unanimes qu’avec cette certification leurs produits sont de meilleure qualité avec au bout une augmentation de la production, appellent de tous leurs vœux l’émergence d’un cadre de discussion plus formel avec tous les intervenants en vue de tirer profit des efforts fournis. Et ce, même s’ils admettent qu’avec les bénéfices liés au commerce équitable notamment la prime et le différentiel Fairtrade, les revenus se sont améliorés.
Le premier point de la convention de 2021 a permis de renouveler les membres de la gouvernance du réseau en tenant compte notamment des nouvelles adhésions.
Et le second a été consacré à une réflexion commune sur les voies et moyens d’améliorer l’accès de tous les producteurs aux marchés.
« Fairtrade, dans ce contexte, se devait d’inviter des partenaires stratégiques pour que le lien entre producteurs et acheteurs soit créé afin de permettre un libre accès aux marchés et d’améliorer les conditions de vie des producteurs », a indiqué Téhoua Annet.
gso/cmas