Un atelier de renforcement des capacités des inspecteurs et médecins-inspecteurs du travail en vue de l’élaboration d’une stratégie d’intervention de l’inspection du travail pour le secteur du cacao s’est tenu le mercredi 21 juillet 2021 à Grand-Bassam.
Organisé par le Ministère de l’Emploi et de la Protection Sociale en collaboration avec le Bureau International du Travail (BIT), cet atelier s’inscrit dans la droite ligne de l’Agenda mondial fixé par la cible 8.7 des Objectifs de Développement Durable (ODD) qui invite les Etats à accélérer le rythme de leurs progrès pour l’éradication du travail des enfants d’ici à 2021.
Représentant Me Adama Camara, Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale, Bagaté MOLOU a remercié Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire, présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, pour son engagement sans faille en faveur de l’éradication des pires formes de travail des enfants.
Il a également témoigné une reconnaissance au BIT, notamment pour la mise en œuvre du Projet « Accélérer l’action pour l’élimination du travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement en Afrique (ACCEL AFRICA) ».
Pour sa part, Amany Konan, membre du Cabinet de la Première Dame a, au nom du CNS, salué l’initiale de cet atelier. Rappelant que la Côte d’Ivoire ambitionne d’éradiquer le travail des enfants dans la chaîne d’approvisionnement de la cacao culture d’ici à 2025, conformément à l’Agenda mondial défini par la cible 8.7 des ODD, il note que cette ambition est réaliste, pourvu que la démarche des acteurs soient structurée et rationnelle.
« Le CNS reste persuadé que le moyen le plus efficace pour éliminer le travail des enfants, est de réaliser la transition progressive de l’économie informelle à l’économie formelle », conclut-il.
Quant à Sophie De Connick, spécialiste principale des principes et droits fondamentaux au travail, représentant le Directeur Pays de l’OIT pour le Benin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger et le Togo, elle a révélé que depuis début 2020, plus de 92 millions d’enfants en Afrique, dont 40 millions de filles et 52 millions de garçons, sont victimes du travail des enfants. Face à l’ampleur des chiffres, Sophie de Connick préconise de redoubler et de mutualiser les efforts.
DA
Organisé par le Ministère de l’Emploi et de la Protection Sociale en collaboration avec le Bureau International du Travail (BIT), cet atelier s’inscrit dans la droite ligne de l’Agenda mondial fixé par la cible 8.7 des Objectifs de Développement Durable (ODD) qui invite les Etats à accélérer le rythme de leurs progrès pour l’éradication du travail des enfants d’ici à 2021.
Représentant Me Adama Camara, Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale, Bagaté MOLOU a remercié Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire, présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, pour son engagement sans faille en faveur de l’éradication des pires formes de travail des enfants.
Il a également témoigné une reconnaissance au BIT, notamment pour la mise en œuvre du Projet « Accélérer l’action pour l’élimination du travail des enfants dans les chaînes d’approvisionnement en Afrique (ACCEL AFRICA) ».
Pour sa part, Amany Konan, membre du Cabinet de la Première Dame a, au nom du CNS, salué l’initiale de cet atelier. Rappelant que la Côte d’Ivoire ambitionne d’éradiquer le travail des enfants dans la chaîne d’approvisionnement de la cacao culture d’ici à 2025, conformément à l’Agenda mondial défini par la cible 8.7 des ODD, il note que cette ambition est réaliste, pourvu que la démarche des acteurs soient structurée et rationnelle.
« Le CNS reste persuadé que le moyen le plus efficace pour éliminer le travail des enfants, est de réaliser la transition progressive de l’économie informelle à l’économie formelle », conclut-il.
Quant à Sophie De Connick, spécialiste principale des principes et droits fondamentaux au travail, représentant le Directeur Pays de l’OIT pour le Benin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger et le Togo, elle a révélé que depuis début 2020, plus de 92 millions d’enfants en Afrique, dont 40 millions de filles et 52 millions de garçons, sont victimes du travail des enfants. Face à l’ampleur des chiffres, Sophie de Connick préconise de redoubler et de mutualiser les efforts.
DA