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Société Publié le dimanche 3 avril 2022 | Primature

Cérémonie conjointe d’inauguration du stade municipal d’Aboisso et de lancement du projet des chaines de valeur compétitives pour l’emploi et la transformation économique (PCCET)

© Primature Par DR
Agriculture : le Premier Ministre Patrick Achi lance le projet de renforcement de la compétitivité des chaînes de valeur agro-industrielles

Abidjan - COTE D’IVOIRE, Samedi 02 Avril 2022


Son Excellence Monsieur Patrick ACHI Premier Ministre, Chef du Gouvernement


Monsieur le Président du Conseil Economique, Social, Environnemental et Culturel, Messieurs les Membres du Gouvernement, Monsieur le Ministre-Gouverneur du District de Comoé, Excellence Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs, Madame la Directrice des Opérations de la Banque Mondiale en Côte d’Ivoire, Monsieur le Préfet d’Aboisso, Préfet de la Région du Sud-Comoé, et l’ensemble du Corps préfectoral, Monsieur le Maire de la Commune d’Aboisso, Mesdames et Messieurs les Elus du Sud Comoé, ainsi que les cadres, Majesté, Honorables Chefs Traditionnels, Distingués Chef Religieux, Mesdames et Messieurs les représentants des délégations des filières, venus de Korhogo, de Man, de San Pedro et d’Abidjan, Mesdames et Messieurs les membres des associations interprofessionnelles du Caoutchouc, du Palmier à Huile, de la Mangue, de l’Ananas, et du Plastique, Mesdames et Messieurs les Partenaires Techniques et Financiers de la Côte d’Ivoire, Mesdames et Messieurs les Opérateurs Economiques et Acteurs de la Filière Agricole, Vaillantes Populations de la Région du Sud Comoé, Chers Amis de la Presse, Mesdames et messieurs,


Je voudrais, en tout premier lieu, vous dire, au nom de Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire, à quel point nous sommes honorés d’avoir été choisis pour parrainer cette cérémonie et traduire aux populations, notre gratitude infinie pour cette mobilisation exemplaire. Merci à toute la population, de s’être mobilisée en nombre si important. Ceci traduit, à juste mesure, l’importance de l’événement qui nous réunit aujourd’hui.


Mes premiers mots iront tout d’abord à la cérémonie que nous venons d’avoir tout à l’heure avant celle-ci. C’est la cérémonie d’inauguration de ce stade municipal d’Aboisso. Je voudrais d’abord remercier Monsieur le Ministre Paulin DANHO pour la qualité, la beauté de cette infrastructure unique dans un Chef-lieu de Région, qui à la fois sert, naturellement les besoins sportifs des jeunes et des moins jeunes, mais également donne l’occasion à ces jeunes de s’occuper et d’occuper leur temps à des activités saines. L’on sait à quel point aujourd’hui, dans le contexte où nous sommes, il arrive que ces jeunes aient leur attention détournée par des activités moins saines. Le remercier également, pour avoir bien voulu rester à l’écoute des populations dans le choix du nom de ce majestueux bijou, devrais-je dire, en prenant la peine d’écouter les jeunes, les femmes, les populations des différentes communautés, des chefferies, des royaumes, et bien sûr des élus afin de désigner ce stade du nom illustre du Président du Conseil

Economique, Social, Environnemental et Culturel, Président de la Région du Sud Comoé, Monsieur Eugène Aka AOUELLE.


Monsieur le Président de Région, nul n’est besoin de faire la liste de vos qualités, elles ont été faites déjà avant moi, à l’occasion de l’inauguration du très beau Centre Hospitalier Régional. Cérémonie à laquelle vous avez bien voulu me convier il y a quelques mois de cela. J’ai eu l’occasion de dire à quel point, vous étiez pour nous, Président du Conseil Régional, de toute façon, élu, un modèle. Et à quel point Son Excellence Monsieur le Président de la République en portant son choix sur vous, pour occuper cette fonction importante de Président de cette institution prestigieuse, ne s’était pas trompé. Aujourd’hui, le choix de votre nom, pour désigner cette ouvrage, qui, lui tire sa source, de ce que le Ministre des Sports nos a dit, des consultations relativement larges, qu’il a effectué auprès des populations, a l’air lever tout doute, sinon de ce que vous représentez dans cette région, dans le District et dans le pays tout entier.


Monsieur le Président, il n’arrive pas toujours, que de votre vivant, vos populations, vos collègues, vos hiérarchies, aient pour vous une telle estime que l’on puisse donner votre nom à un ouvrage, à une infrastructure majestueuse, fréquemment utilisée. Lorsque c’est le cas, c’est que ces qualités-là dépassent, de loin, celles du commun des mortels. Mais c’est la preuve d’un travail acharné. Vous êtes certainement l’un de ceux, qui est un des élus les plus anciens, pas vieux, parce que vous êtes toujours jeune (rire). Mais ce n’est pas l’ancienneté qui fait la qualité, mais si vous êtes ancien, c’est parce que la qualité de ce que vous faites donne le sentiment aux populations que chaque fois qu’elles vous élisent, c’est un nouveau député, c’est un nouveau président qui a été élu. Et je suis le plus heureux de voir que l’on puisse aujourd’hui de façon matérielle, et non seulement par des mots dans un discours, consacrer toute cette oeuvre, cette oeuvre d’une vie, comme on l’a dit. Cette passion pour ses parents, cet engagement à construire et à développer qui vous a habité tout au long de votre carrière, et qui continue de l’être. J’ose espérer que votre nom puisse également, au-delà de ce stade, figurer de façon emblématique dans de nombreuses autres infrastructures de votre vivant. Félicitations pour aujourd’hui, et vous le méritez véritablement, je puis en témoigner.


Je voudrais naturellement remercier tous les élus, tous les cadres, et toutes les populations, qui de façon objective et indépendante, tout parti confondu, toute religion confondue, toute origine confondue, toute région confondue, ont pu apporter votre addition à ce choix.


La cérémonie qui nous réunit ici jour, à titre principal, je voudrais vous dire à quel point je suis heureux de prendre part à cette cérémonie qui revêt une importance stratégique, pour l’avenir de notre pays et celui de notre économie. Il s’agit du lancement du projet de chaines de valeur compétitives pour l’Emploi et la Transformation Economique (PCCET). En effet ce nom à l’acronyme particulièrement complexe, veut simplement dire que pendant de longues années, notre pays a été connu ici, à travers le monde pour être pays producteur de matières agricoles importantes, diverses, au point aujourd’hui d’être connu dans le monde entier, pour être l’un des géants en matière de production agricole. Mais aujourd’hui, il faut également constater, et c’est ce qu’a fait Son Excellence Monsieur le Président de la République, que les pays qui ont eu l’opportunité de se développer rapidement et développement des infrastructures économiques et sociales de grandes qualités et grands nombres, qui ont eu l’opportunité de créer de nombreux emplois, pour les jeunes, ne sont pas des pays qui simplement produisent des valeurs agricoles, et produits agricoles et les vendent. Parce que si vous ne vendez que les produits agricoles, le prix que vous retirez de cette vente est trop faible pour vous permettre véritablement de vous développer. Parce que les produits coûtent de plus en plus chers, au fur et à mesure qu’on les développe et qu’on les transforme.


Aujourd’hui, pour ne prendre qu’un exemple, si l’on disait que le cacao que vous produisez, quand il a parcouru ce qu’on appelle la chaine des valeurs, ça veut dire plusieurs étapes de transformation pour devenir du chocolat, il est vendu à un certain prix. Vous qui avez le champ toute l’année durant, qui débroussaillez, qui entretenez, qui récoltez, qui séchez, qui transportez, et qui vendez, vous n’avez que 5% du prix de vente. Si c’est 1000 f, vous qui avez tout fait, vous gagnez 50f. Et donc l’objet de ce projet, qui parle non seulement du cacao, mais qui parle également de l’hévéa, qui parle de l’ananas, qui parle de la mangue répond à cette logique que celui qui a le pied de l’hévéa, qui saigne l’hévéa, et qui vend, quand on le compare par rapport à celui qui le prend, qui le transforme, qui en fait un pneu et qui vend le pneu, c’est le jour et la nuit. Donc vous n’arriverez jamais à atteindre un niveau de développement qui vous permet de donner une vie décente à vos populations. Ça veut dire qu’un planteur de cacao, un planteur d’hévéa, un planteur de mangue, un planteur d’ananas ne pourra acheter sa maison, envoyer ses enfants à l’école, construire, je dirais ses bureaux, avoir une voiture, se déplacer, avoir une vie décente, tant qu’on se contentera simplement de vendre la matière première. Mais pour pouvoir transformer cette matière première, et pouvoir avoir tous ces bénéfices dont on parle et ces montants dont on parle, il faut véritablement développer ce qu’on appelle la chaine des valeurs. Ça veut dire, vous avez le cacao, à partir de la fève de cacao, il faut pouvoir arriver à la poudre de cacao, au beurre de cacao, il faut pouvoir aller au chocolat, aux produits chocolatés, il faut aller jusque-là. Si vous prenez la noix de cajou c’est pareil, il ne faut pas uniquement vendre les noix, mais il faut les casser, il faut les chauffer, et il faut les ensacher et faut les vendre. Et tout cela, toutes ces étapes des chaines, on ne les fait pas. Puisque on les vend brut, et ce sont les autres pays qui font ces transformations. Et puis après, souvent quand c’est fini, on nous ramène ça même ici, ce produit fini, et puis on achète ça encore pour manger.


La décision du président de la République, dans sa vision Côte d’Ivoire 2030, c’est de dire maintenant que nous avons mis le pays à niveau, redévelopper les infrastructures, remis à niveau le système scolaire, remis à niveau le système de santé. Maintenant, il faut nous attaquer, véritablement, à la transformation structurelle de notre économie. Qui veut dire de partir d’une économie de production de la matière première pour arriver à une économie de transformation et qui vend transformé. Alors en ce moment-là, tout le développement prend un sens. Parce que lorsque vous avez votre champ, que vous le cultivez, et que vous éduquez vos enfants, tous ne vivront pas dans le champ, mais si ceux qui ne viennent pas au champ qui sont éduqués, peuvent être dans les usines qui font de l’ananas, peuvent être dans les usines qui font le chocolat, peuvent dans les centres, peuvent être dans les usines qui exportent les produits finis pour distribuer, alors ça crée de l’emploi. Mais également ces usines, ces centres créent également des impôts. Ce ne sont pas seulement des revenus issus de la vente des fèves mais l’Etat également gagne de l’argent à travers la création de ces usines-là. L’Etat ayant plus d’argent, fais plus de routes, mais pour construire tout ça, il faut que l’Etat ait de l’argent. Et plus il y a de sociétés, qui transforment, plus l’Etat a de l’argent, mais également plus les enfants trouvent du travail. Si le pays n’a que des champs, mais tous les enfants qu’on a formés, ils vont pas être avec nous au champ pour être planteurs. Si on envoie les produits, la matière première brut à l’extérieur, c’est là-bas qu’on crée les emplois. Mais nos enfants ne vont pas aller là-bas pour aller travailler, puisqu’ils sont ici avec nous.


Donc la question de l’emploi est extrêmement importante et c’est un des défis majeurs que le pays a. Voilà pourquoi on dit que « Côte d’Ivoire 2030 », cette vision du président de la République, qui vient du fait qu’on se rend compte que d’ici 2030, on aura encore 10 millions de jeunes de plus entre les mains, si on ne commence pas aujourd’hui à réfléchir à, où on va mettre ces 10 millions d’enfants. Ils vont être dans vos cours hein, à la maison hein, et ça ne sera pas une affaire facile. Quand ils sont remplis à la maison, chef, toi-même tu sais comment ça se passe hein, c’est eux qui deviennent les chefs (rire…).


La transformation structurelle de l’économie, à travers la création des chaines de valeur dans le pays, répond à la logique de développer le pays, en lui permettant de tirer le meilleur bénéfice des atouts qu’il a, à savoir celui d’être un grand producteur de matière première et maintenant de la transformer. Et ceux qui la transforment, sont le secteur privé. Ceux aujourd’hui qu’on appelle paysan, ce qu’il faut c’est que demain, on les appelle fermier. Parce que fermier, ça veut dire que tu as tracteur, tu as un véhicule, tu as des équipements qui pompent les produits, tu as des équipements automatiques pour cueillir, tu fais plus ça à la main. Tu modernises ton environnement et tu deviens un fermier, tu es une entreprise. Tu transformes également. C’est-à-dire ici, dans la région d’Aboisso, on va avoir des unités de transformation de tous ces produits que vous avez là. Que ce soit l’hévéa, que ce soit l’ananas, que ce soit les mangues, pour ceux qui sont dans les zones qui produisent la mangue. On n’aura pas tous besoin d’avoir de grandes usines. On a visité cette usine merveilleuse aujourd’hui de 40 mille tonnes. Mais on peut avoir des petites usines. Et ces petites usines là, aujourd’hui ce que dit l’Etat, que c’est le secteur privé, pour avoir un crédit pour pouvoir créer cette usine, c’est difficile. Ce n’est pas évident qu’on vous donne un prêt. L’Etat dit je veux aider au développement du secteur privé. C’est ça la chaine des valeurs. C’est non seulement d’aider les paysans à améliorer la qualité de leur production, à améliorer la qualité de l’équipement qu’ils ont, mais également les aider dans la région à monter les usines, comme ici, de sorte à pouvoir créer de l’emploi ici à Aboisso. Voilà l’essence je dirais de ce projet.


Je voudrais donc remercier toutes les populations qui sont venues ici, pour leur dire que je suis extrêmement heureux d’être ici, et en même temps que je suis ici pour lancer un projet d’une telle importance, je ne peux pas m’empêcher de ne pas avoir un instant de mémoire et un instant pour honorer la mémoire de mon illustre prédécesseur, mon frère feu le premier Ministre Amadou GON COULIBALY, sous la conduite duquel les premiers éléments de ce projet ont démarré. C’est vrai, il n’est pas là aujourd’hui, mais il faut savoir reconnaitre le travail des grands hommes, qui ont posé des actes même quand ils ne sont pas là. Au moment où ce projet démarre, il faut savoir leur reconnaitre qu’ils en ont été à l’initiative. Avec votre permission, je voudrais donc avoir pour lui, ces quelques instants de mémoire.


Mesdames et messieurs, comme vous le savez, la Côte d’Ivoire a atteint aujourd’hui un niveau tel, il y a quelques jours, Madame le Commissaire de l’union Européenne en charge des partenariats internationaux, qui étaient là, disait qu’elle avait eu connaissance de ce que la Côte d’Ivoire figurait parmi les dix pays au monde où on vit le plus heureux. Ça ce n’est pas moi qui ai dit, c’est pas nous hein, c’est au niveau l’international, ce sont les gens qui disent ça. Parce que nous ne voyons jamais ça. C’est les gens qui viennent de l’Europe qui ont les yeux pour voir ça. Donc je lui disais, madame la Commissaire, à partir du moment où vous êtes arrivée dans l’un des dix pays où on vit le plus heureux, normalement vous ne devriez plus retourner (rire…). Elle m’a dit non, moi-même mon pays est dans ce classement-là. Et mon pays, il est le premier, il est en tête de liste. Je dis bon je vais pas aller chez vous, parce que c’est moi qui risque de rester là-bas. C’est dire que, on a parcouru un chemin phénoménal, et pour ceux qui ont l’honnêteté intellectuelle de regarder simplement 10, 12 ans en arrière, ils doivent le savoir et savoir reconnaitre que la Côte d’Ivoire a fait un progrès.


Aujourd’hui, on construit des routes, mais il y a les embouteillages. C’est-à-dire on lutte avec les embouteillages. On construit, tu fais une route les véhicules arrivent, tu fais une autres les véhicules arrivent. Les avions sont pleins, les hommes d’affaires veulent investir. On les force pas. Mais c’est un signe qui ne trompe pas. Donc souvent quand vous êtes perturbés et vous ne savez pas faire la différence entre le vrai et le faux, regarder l’étranger qui vient chez vous, et regardez comment ses yeux regardent, alors vous allez savoir la vérité. Mais le Président a encore l’intention d’aller plus loin pour la Côte d’Ivoire. Pas pour nous, pas pour lui, mais aimer son pays, vouloir développer son pays, c’est travailler non seulement pour ceux qui sont là aujourd’hui même, mais travailler pour la génération suivante. Pour que au-delà de nous, nos enfants connaissent en Côte d’Ivoire, un monde meilleur. Et la Côte d’Ivoire continue de monter au firmament de ce continent africain dont il a occupé, à un moment donné, la première place, qu’à nouveau le nom de la Côte d’Ivoire soit cité à nouveau ici et là. C’est à ça qu’il s’attache au quotidien et ce projet, la chaine des valeurs mondiales, et l’intégration de la Côte d’Ivoire. On n’a pas dit la chaine des valeurs ivoirienne, on n’a pas dit la chaine des valeurs continentale africaine mais la chaine des valeurs mondiale. Que ce soit l’Asie, que ce soit l’Europe, que ce soit l’Amérique, que ce soit tous les pays du monde, la Côte d’Ivoire estime qu’aujourd’hui, nous avons atteint un niveau tel que nos paysans et nos fermiers sont capables de compétir, que nos jeunes ont la compétence et la capacité de compétir. Le rôle de l’Etat est d’aider ses populations à faire leur part, pour qu’ensemble nous ayons un pays plus grand, et des enfants qui méritent mieux.



Je voudrais, chers amis, chers parents vous dire que, j’ai été très heureux de participer à cet événement. Et lorsque nous organisions cette cérémonie, j’ai dit à mon collaborateur, à partir du moment où on n’est pas en train de donner un premier coup de pioche à un champ, est-ce qu’on ne peut pas faire cette cérémonie à Abidjan. On se met dans un bureau et puis on fait la cérémonie. Il m’a dit, ceux à qui c’est destiné, ceux que ça concerne sont essentiellement à l’intérieur du pays, c’est des producteurs. Et il a raison. C’est bien ici que nous devrions être, devant vous, chaque jour qui êtes à la tâche, pour vous dire que son Excellence Monsieur le Président de la République, a fait des reformes, a pris des décisions et a amené la Côte d’Ivoire à prendre une direction de transformation structurelle du pays qui partira du milieu rural pour arriver au niveau des milieux urbains. Et permettra de transformer les régions et Chefs-lieux de Région, pour qu’ils n’aient rien à envier à Abidjan. Qu’en terme d’école, d’université, de stade, de route, de transport, qu’on puisse avoir ici à Aboisso, un confort et un niveau de vie tel qu’on l’a dans n’importe quelle autre région de la Côte d’Ivoire. Donc je suis venu vous donner ce message. Ce projet démarrera à partir d’Aboisso pour gagner toutes les régions de la Côte d’Ivoire.


Je voudrais en votre nom à tous, que nous puissions faire un ban d’applaudissement à cette vision de Son Excellence Monsieur le Président de la République, d’une Côte d’Ivoire Nouvelle, d’une Côte d’Ivoire ambitieuse, d’une Côte d’Ivoire plus grande avec toutes les populations, dans la paix sociale qui est le fondamental qui précède tout développement. Et vous remercier de ce que Acteurs de cette société, vous fassiez en sorte que nous puissions tous, maintenir ce pays dans cette paix, dans cette stabilité, qui permis ces dix dernières années de faire ce bond, et dix prochaines années de faire un bond encore plus grand.


Merci à vous tous d’être ceux-là qui sont les acteurs d’aujourd’hui, qui font leur part pour que demain, leurs enfants puissent aussi ajouter une pierre pour faire avancer le pays. Je ne pourrai pas terminer sans remercier très sincèrement, messieurs les Ambassadeurs ici présents, parties prenantes de cette réflexion, parties prenantes du financement de la Côte d’Ivoire, et également remercier nos partenaires au développement dont la Banque Mondiale, représentée par son Directeur des Opérations, Madame CORALIE Gevers ici présente, qui a été très courte dans son propos, parce qu’elle fait beaucoup et elle parle peu. Merci beaucoup. Nous quand on aura fini de parler, votre tour arrive. (Rire…) Messieurs les élus, Messieurs les ministres, Messieurs les cadres des amicales Chers présidents des faitières, Président des organisations, Chères populations, ce fut un grand plaisir d’être avec vous aujourd’hui, Ce fut un grand plaisir de partager avec vous, une partie de la vision de Son Excellence le Président de le République, et de partager avec vous cet amour qu’on a pour notre pays, cet espoir qu’on a pour notre pays, et cette ambition qu’on a pour notre pays. Nous allons pouvoir compter sur vous, avec les messieurs de la faitière que nous aurons tout à l’heure, pour faire avancer notre pays plus vite et plus loin.


Merci à tous de votre attention, et bonne fin de semaine et à bientôt pour démarrer les opérations,

Je vous remercie.

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