Dans le dossier des 49 militaires ivoiriens arrêtés à leur arrivée à Bamako le 10 juillet dernier, la perspective d'un règlement diplomatique semble de plus en plus menacée. Parce que des points d'achoppements difficilement surmontables sont dorénavant clairement assumés, et parce que les Nations unies n'ont pas levé certaines zones de flou.
Le Mali et la Côte d'Ivoire s'accusent à présent mutuellement de manquer à leur parole. Dans un communiqué diffusé hier soir, Bamako considère que le gouvernement ivoirien « vient de... suite de l'article sur RFI