L’auteur Laurent Kouassi, cadre de banque résidant au Canada, vient de mettre sur le marché du livre, « Mon carnet de la quarantaine, enjeux de nombreux ‘’incongrus’’ des sociétés africaines : le cas de la Côte d’Ivoire ». La dédicace de cet ouvrage s’est déroulée le jeudi 1er décembre 2022 à la Librairie Carrefour sise à Cocody Saint-Jean.
Après la parution, en 2019, aux Editions L’Harmattan Côte d’Ivoire, de son premier ouvrage intitulé « Côte d’Ivoire : la Grande Parenthèse, Devoir de Mémoire », Laurent Kouassi, ancien cadre de la Compagnie ivoirienne d’électricité, reprend la plume à travers la publication de « Mon carnet de la quarantaine : enjeux des nombreux ‘’incongrus’’ des sociétés africaines : le cas de la Côte d’Ivoire », un Essai paru en 2022 à la même maison d’édition.
En présence d’un public composé de parents, d’amis, de lecteurs et des médias, l’ouvrage « Mon carnet de la quarantaine…’’ a été présenté par le journaliste-Écrivain et Maître en Histoire Hervé Gobou. Celui-ci a d’abord souligné que le premier ouvrage de l’auteur était un cri de cœur d’un compatriote face aux crises militaro-politiques que la Côte d’Ivoire a connues. Évoquant l’ouvrage à l’honneur, le critique a relevé la qualité esthétique de la mise en page avant de noter que la longueur du titre peut se comprendre par le genre choisi par l’auteur, en l’occurrence l’Essai. Parlant du fond, il a mis en exergue la pertinence et l’originalité des propositions de l’auteur relativement aux « incongrus » ou dysfonctionnements des sociétés africaines et de la Côte d’Ivoire en particulier. Il a, par conséquent, invité les décideurs à prendre en compte les propositions contenues dans cet ouvrage en vue du développement accéléré du pays. « C’est un ouvrage qui trace un chemin », a-t-il conclu.
Quant à l’auteur, il a fait savoir que la publication de son premier ouvrage répondait à une volonté de contribuer à la paix dans son pays. ‘’C’est à nous, ivoiriens, d’écrire l’histoire de notre pays’’, a-t-il déclaré. « Après les critiques formulées dans mon premier ouvrage, voici les solutions que je propose dans ce deuxième essai », explique l’auteur. Qui s’offusque, entre autres, de ce que le binôme café-cacao, en tant que pilier de l’économie ivoirienne, ne bénéficie pas d’une attention particulière à travers un Ministère dédié. ''Quelles sont les valeurs et acquis de notre société après 60 ans de vie ? Le travail, l’honnêteté, le courage…sont autant de valeurs qu’il faut implémenter en Côte d’Ivoire. Des pays tels que le Japon l’ont fait et ils connaissent un progrès fulgurant’’, a-t-il conclu.
Nk